1. Massages, et épilations si affinités


    Datte: 08/06/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, rasage, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... essences de plantes atténuent l’agression et endorment la peau. Je suis restée ainsi, je dirais dix minutes, en commentant mes sensations à mes trois spectatrices tout en les rassurant, au moins pour le moment.
    
    Les matrones ont vaqué aux soins de leurs autres pratiques, dans la même tenue sans qu’on le leur reproche, alors que j’attendais que ma tartine sèche. Lorsqu’elle a été prête, elles sont revenues. La « Rubens » maghrébine a saisi mes chevilles, l’autre a plaqué les mains sur mon ventre pour en tendre la peau le temps que la troisième arrache d’un coup sec les poils avec la pâte. Et je n’ai rien senti, ou si peu : à peine l’impression d’un étirement bref. Mon pubis était lisse, légèrement rougi. Pour la vulve, bien sûr, ce fut une autre affaire, non pas plus douloureux mais plus long. L’une étirait les aines que l’autre dépiautait de leur gangue moelleuse, avant de conjuguer leurs actions sur mes lèvres, puis de se concentrer autour du clitoris pour un vague duvet en haut du capuchon, parait-il. Bon, là non plus pas de peine, mais beaucoup de plaisir. Sans doute agacé d’autant d’attouchements, mon bouton est sorti de sa tendre cachette. Je n’en ai pas eu honte. Je l’ai laissé pointer, rubicond, entre les doigts agiles qui le manipulaient.
    
    Un très rapide orgasme, et j’étais délivrée de toute ma toison, y compris dans mes plus intimes plis. Mais non ! J’oubliais mon sillon. Avant de s’attaquer à lui, mes épilatrices ont bien voulu que mes trois spectatrices se ...
    ... rendent compte de près, voire au toucher, du résultat de leur travail et les ont convaincues de jeter aux orties elles aussi leur pelisse. Elles les ont aussitôt apprêtées, chose simple puisqu’il leur suffisait d’abandonner leur blouse. Pour ne pas encombrer une table de plus, ma joviale « Rubens » a trouvé la parade : m’expulser de la mienne et y coucher Charlotte, proposer à Sandra et Agnès de s’étendre à plat dos, sur l’autre, face à face, les genoux repliés et les cuisses ouvertes. L’une de ses collègues pourrait ainsi les traiter ensemble, elle-même s’occuperait de mes fesses et la troisième tartinerait Charlotte. Voilà comment une bonne employée a rentabilisé le temps et l’espace. Voilà aussi pourquoi je me suis retrouvée, à genoux sur le sol, le cul en l’air attendant son inspection.
    
    Elle fut assez rapide. Deux mains brunes ont ouvert mon sillon et j’ai senti le souffle d’un examen rapproché. L’instinct m’a fait contracter la rosette et la conscience du ridicule de ma réaction m’a fait honte. J’avais souhaité ce soin, je venais de jouir au vu et su de la terre entière, j’avais exhibé à tout va mamounine en folie, et je me comportais comme une pucelle à sa première visite gynécologique. Tout au plus pouvais-je m’inquiéter de la coulée de mouille descendue jusqu’à mon petit trou et de l’éventuel remugle qui aurait résulté de sa rencontre avec la sueur de l’endroit et mon arôme le plus secret. Mais ma matrone expérimentée n’allait pas s’attacher à un tel détail.
    
    Et en ...
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