La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1556)
Datte: 07/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... silencieuse en effet, malgré le contexte d’une bien rude pénétration, avec ces coups de butoirs violents qui la défonçaient avec force et profondeur… Je l’enviais… J’allais même jusqu’à ressentir une forme de jalousie… Monsieur le Marquis ne m’avait guère donné Son noble Sexe jusqu’ici…
Plus que de la jalousie, c’était de la frustration, et la gestion de cette frustration m’était difficile même si je savais qu’elle faisait partie du processus d’apprentissage nécessaire à l’élaboration de ma nouvelle identité, celle d’un esclave sexuel soumis à toute latitude ! Faire avec certains interdits, accepter l’existence de règles et de limites étaient autant d’éléments indispensables pour me construire ainsi. Je savais qu’il me fallait apprendre à gérer cette frustration sexuelle, car elle mettait en conscience l’existence de mes désirs et me permettait de discerner les différentes sources de blocages et d’interdits que je connaissais encore. Facile à dire… difficile à admettre !... Monsieur Montambert venait de tirer de nouveau ma tignasse et m’entrainait derrière lui, toujours à quatre pattes, dans une autre pièce, adjacente à son bureau. Ce n’était pas réellement une pièce, mais plutôt un local étroit et sans lumière du jour, puisque sans fenêtre, avec en son centre une simple planche de bois brut posé sur des tréteaux sur lequel était déposé un ordinateur et un téléphone fixe.
- Voilà ton bureau salope, avec tout le confort lié à ton rang de bâtard soumis. C’est bien ...
... suffisant pour toi, n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Tu y seras toujours nu ici, enfin presque !
Le pervers Dominant attrapait ma cage de chasteté, d’entre mes cuisses…
- Presque nu, puisque tu garderas en permanence ce truc sur ta nouille, avec d’autres petites contraintes te permettant de ne pas oublier ce que tu es, comme celle-là par exemple !
A cet instant, il sortait de derrière je ne sais où un tabouret sur lequel, en son centre, était arrimé un godemichet fixé à la verticale, un membre factice pas très long mais épais.
- Toi qui avais envie de te faire mettre, empale-toi là-dessus, sale chienne !
Quel sadique… Sa perversité n’avait aucune limite… Il me regardait vicieusement m’embrocher sur ce sexe factice. De mes deux mains j’écartais mes lobes fessiers et pointait en tâtonnant l’extrémité de cet objet sur mon orifice ouvert et préparé.
- Aller, la chienne en chaleur, assieds-toi, d’un coup et d’un seul, en me regardant, je veux voir tes yeux me maudire, je veux entendre tes plaintes lorsque tes sphincters vont devoir s’ouvrir brutalement. Tu vas voir, c’est un mauvais moment à passer, mais lorsque ce gode sera bien installé et bien ancré dans ton cul de lope, te connaissant maintenant un peu plus, je suis certain que tu vas prendre du plaisir, la pute !
Le pervers Dominant se gaussait, un rire ouvertement moqueur, satanique et vicieux, alors que je m’enfilais sur cette verge artificielle en hurlant mon écœurement… mon infortune… ma misère… mon ...