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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1556)
Datte: 07/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1555) - Chapitre 20 : Première journée de travail - Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus… Compte tenu du traitement que je subissais, avec ce doigt jouant avec ma rondelle, je me préparais à me faire sodomiser dans les secondes, sinon minutes qui allaient suivre. Tout était paradoxe, mon mental était en vrac alors que sur le plan physique, mon corps lâchait prise et demandait inexorablement des bites, il ressentait ce besoin viscéral de se faire prendre. Je sentais mon anus se dilater et s’ouvrir, sous la contrainte de ce profond majeur inquisiteur. Ce doigt allait et venait en moi, tournoyait et écartait mon orifice intime par de petits cercles tout autour et à l'intérieur de ma corolle flétrie. Lorsque ce majeur me quittait, il était immédiatement remplacé par un pouce caressant et faisant pression sur mon entrée, tournoyant par de délicieuses petites poussées. Mon anus s’ouvrait alors plus encore, comme si mon antre voulait avaler ce doigt, le gober, l’engloutir ou le dévorer. Dans ce bureau, à quatre pattes, les reins cambrés au maximum, à seulement un mètre de Monsieur le Marquis s’activant entre les cuisses de cette secrétaire soumise, je geignais doucement, agréablement. Je me sentais prêt à me faire démonter le cul par ce sexe volumineux. - Quelle chiennasse ! Cette salope s’ouvre sans aucune ...
... résistance ! Il a dû en prendre des bites dans son cul, ce sale bâtard !, constatait et affirmait Martial Montambert. Son vicieux massage me faisait maintenant haleter et frissonner. Le pervers Dominant avait parfaitement raison, je me sentais chiennasse, d’autant plus chienne que ma posture en quadrupédie était semblable à celle de l’animal canin, d’une femelle en chaleur ! Oui… mon cul était opérationnel et exploitable, je le savais ! Mais contre tout attente, à cet instant précis, Monsieur Montambert se désintéressait de mon orifice, m’empoignait par les cheveux et me tirait violemment près de Ce Membre tumescent, Celui de Monsieur le Marquis, qui allait et venait, qui coulissait dans cette chatte écartelée de la femelle asservie. Ma tête placée juste à quelques centimètres de cette copulation bestiale, j’étais tel un zoom avant…, en gros plan, je voyais Ce Sexe conquérant, combatif, possédant et gluant pénétrer ardemment, virilement, cette soumise pantelante et ruisselante. Sans doute devait-elle connaitre l’orgasme, des flots de cyprine s’échappaient de cette vulve cramoisie, mais cette secrétaire soumise ne laissait rien paraitre, ne disait rien, ne gémissait pas, seuls des tremblements incontrôlables, des soubresauts laissaient penser qu’elle prenait du plaisir. Visiblement, elle avait été parfaitement éduquée, formatée pour être ainsi capable de faire un silence complet durant cette prise d’assaut, de cette saillie profonde de son intimité avilie. Elle était étonnamment ...