1. Une réunion à terminer


    Datte: 03/06/2024, Catégories: fh, frousses, grosseins, hépilé, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme occasion, Auteur: Lovefurs, Source: Revebebe

    ... peux me le dire, tu sais. Moi, je la trouve splendide dans sa zibeline.
    — Elle est effectivement magnifique et je dois bien avouer que sa présence ne m’a pas laissé indifférent.
    — Alors, viens baiser fort sa nièce si tu es excité…
    
    En se retournant, ses longs cheveux roux se mélangèrent aux poils soyeux de son manteau. Elle m’invita à la suivre vers le canapé. Mais souhaitant garder un minimum de contrôle, je l’attrapai par sa veste pour l’attirer contre moi. Elle était devant moi, de dos. Un gémissement de surprise sortit de sa bouche mais elle colla immédiatement son cul rebondi contre le bas de mon ventre. Mes mains prirent fort ses gros seins à travers la fourrure et les pétrirent. Ils étaient lourds et doux. Elle pencha sa tête en arrière sur mon épaule. Je l’embrassai dans le cou. Les effluves de son parfum augmentaient mon désir pour elle. Ses doux cheveux de feu caressaient mon visage. Nous avions basculé dans un autre monde. Celui du plaisir charnel. Elle s’empara de ma dextre, la descendit dans la fourrure jusqu’à l’ouverture de son manteau et la mit entre ses cuisses. Je retrouvai l’humide sensation d’excitation dans laquelle je l’avais laissée le soir précédent lorsqu’à quelques mètres de sa tante elle m’avait permis d’explorer sous sa jupe.
    
    Elle se défit de mon emprise et s’appuya sur la lourde console de l’entrée. Mon regard ne pouvait se défaire d’elle. Légèrement penchée en avant, elle dégagea sa croupe de son manteau en passant toute la fourrure d’un ...
    ... seul côté et se cambra exagérément. Elle caressa sa vulve trempée et goûta le jus de son désir :
    
    — Je suis prête.
    
    Mon sexe dardé sortit presque sans aide de la fourrure de castor dont j’étais uniquement couvert. Anticipant un besoin de liberté de mouvement, je dégrafai les crochets de mon manteau. Je m’approchai de ma proie volontaire. Je lui mis une douce fessée qui rougit sa peau blanche et l’embrassai avant qu’elle n’eût dit quoi que ce soit. Puis je caressai son cul endolori avec la fourrure de mon manteau. La coquine correction ayant exacerbé sa sensibilité, Claire était devenue la petite chienne qu’elle m’avait promis d’être.
    
    Sans l’impatienter, debout derrière elle, je présentai mon gland à son puits d’amour qui m’aspira sans difficulté. Je la besognai sauvagement comme elle m’en avait exprimé l’envie. Je prenais ses mamelles à pleines mains dans un mélange de douceur et de fermeté qui devait lui plaire car je sentais ses pointes extrêmement dures. Elle pinçait fort ses tétons, les tirait vers l’avant. Le plaisir montait en elle. D’un revers du bras, elle vira sans ménagement tous les bibelots qui se trouvaient sur la console et s’affala dessus. Ce léger changement de position amplifia notre plaisir commun et dans une série de gémissements, Claire me supplia de vider mes couilles au plus profond de ses entrailles.
    
    Son souhait à peine formulé, je sentis mon sexe se remplir, monter en pression, et mon sperme vint souiller le con de la jolie rousse. Ses membres ...