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Une réunion à terminer
Datte: 03/06/2024, Catégories: fh, frousses, grosseins, hépilé, Collègues / Travail BDSM / Fétichisme occasion, Auteur: Lovefurs, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents : Rodolphe absent, c’est Claire sa nièce qui reçoit Thomas à l’agence. Et la réunion à caractère professionnel va se terminer d’une manière qui l’est beaucoup moins… Alors que je montais les escaliers afin de rejoindre mon appartement situé au quatrième étage d’un immeuble cossu mais dépourvu d’ascenseur, mon téléphone portable vibra. Un rapide coup d’œil à ma montre connectée m’indiqua que j’avais reçu un message d’un numéro inconnu. Pensant à un énième spam prétextant m’informer sur mon Compte de Points Formation dans le but de me soutirer quelques dizaines d’euros, je ne pris pas la peine de sortir mon smartphone de ma poche. Encore sous le coup de l’émotion de l’expérience vécue en ce frais après-midi de décembre chez RDK Immobilier, j’allumai machinalement la télévision et m’installai dans mon canapé avec un verre de vin accompagné de quelques rondelles de saucisson. Ces petites agapes me feraient office de dîner. Soucieux de vérifier qu’aucune nouvelle importante, bonne ou mauvaise, ne se trouvait dans ma boîte mail professionnelle, je sortis mon téléphone. Quand l’écran s’éclaira dans ma main, le fameux message qui avait fait vibrer ma poche dans l’escalier s’afficha. Et contrairement à ce que je pensais, ce n’était pas du tout un spam : Mon rythme cardiaque s’emballa à la lecture du texto. Je répondis précipitamment et sans réfléchir un hasardeux « OK » que je regrettai rapidement sans savoir si je devais envoyer un nouveau ...
... message ou rester muet. Le choix du silence fut fait afin d’être sûr de ne pas commettre d’autres maladresses. Je passai ma soirée à annuler mes rendez-vous professionnels du lendemain et prévins mes collègues que je serai en télétravail. Couché vers 23 h et après une nuit réparatrice, je fus réveillé par les premiers rayons du bas soleil de ce début d’hiver qui venaient déchirer le rideau de la fenêtre de ma chambre. Comme je le faisais régulièrement lorsque la météo s’y prêtait, je décidai d’aller courir avant de prendre mon petit-déjeuner, me doucher et commencer à bosser. La douce lumière qui éclairait les rues d’Aix rendait les femmes que je croisai toutes plus charmantes les unes que les autres. Une étudiante en mini-jupe et bottes par-ci, une quadra en tailleur et escarpins par-là ou encore une jeune maman à la poitrine volumineuse joliment mise en valeur dans un petit pull en mohair… Je ne savais où poser mes yeux. Mon heure de footing passa ainsi très vite. De retour chez moi, je m’étirai comme à mon habitude, dans la cour de mon immeuble quand le gardien m’interpella depuis la fenêtre de sa loge : — Bonjour Monsieur D’Accourt. Comment allez-vous ce matin ? Alors, on a encore fait semblant de faire du sport pour admirer les jolies filles ? me dit-il d’un ton rieur. — On ne peut rien vous cacher, Monsieur Lopez… — Un coursier est passé vous livrer un colis il y a une demi-heure. Je pensais que vous étiez parti au travail, je me suis donc permis de signer et ...