1. Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane (1) Tante Cécile


    Datte: 03/06/2024, Catégories: Première fois Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... Parfois il se retirait, et sa queue tendue, luisante, balançait comme le sexe du mâle devant le sexe de la femelle.
    
    Puis il la reprenait, la besognait encore et encore et elle couinait comme un petit animal. Le mâle gicla en râlant, couché sur le dos de sa femelle et ils restèrent ainsi écroulés.
    
    Il se retira, à genoux derrière elle il lécha, nettoya la chatte et le cul de madame B. qui se reculotta et il se rebraguetta.
    
    Caché dans mon observatoire, et sans même me toucher j‘éjaculai dans mon slip. Quel spectacle ! Et les copains, la tête qu‘ils vont faire quand je leur raconterai ! Et ma soeur !
    
    La semaine suivante nous étions dans notre poste d‘observation, impatients de savoir s’ils “le referaient“. Nous ne fument pas déçu, ils “le refirent“ !
    
    C‘était le paradis ! Le soir nous avions “la radio“ dans ma chambre et une fois par semaine le “ciné“ au fond de l‘économat !
    
    Tante CécileTante Cécile ! Sa culotte ! L‘origine de mon fétichisme ! La grande villa au dessus de Nice où nous passions, mes cousins et cousinent et moi les vacances d'été.
    
    Tante Cécile fut la seconde épouse de mon oncle Jean. Et très peu de temps après leur mariage, les gens se mirent à jaser. Et dans la famille on chuchotait qu'elle avait le feu au cul, qu'elle ne pouvait pas rester plus de cinq minutes près d‘un homme sans lui grimper dessus, qu'elle changeait d'amant comme de culotte.
    
    Peut nous importait. Tante Cécile nous gavant de sucreries, oncle Jean passant en coup de vent ...
    ... entre deux voyages d'affaire, les bras chargés de cadeaux ; ces mois de soleil et de liberté me faisaient oublier les neuf mois de froid, de grisaille et de punitions de l'internat. Leur union dura deux ans. Oncle Jean se tua sur la Grande Corniche au volant de sa Bugatti, laissant à sa femme une belle fortune et la villa sur la Côte.
    
    C'est ainsi que, durant les années qui suivirent tante Cécile nous présentait chaque été, selon l‘âge du monsieur, un nouvel “oncle Paul“ ou un nouveau “tonton Albert“.
    
    ***Cet été là, tout commença le jour où je surpris tante Cécile et son amant accouplés comme des bêtes et ce termina le lendemain par une divine branlette.
    
    Pour je ne sais plus quelle raison j‘étais rentré ce jour là plus tôt que d‘habitude de la plage. En traversant le vestibule, j‘entendis des bruits venant de la cuisine, puis la voix de ma tante :- Non… Alors vite… Les petits… Ils pourraient... !
    
    Par le jardin, je me glissai sous la fenêtre de la cuisine… Debout, les fesses appuyées sur la table, ma tante troussait sa robe. Elle n‘avait pas de culotte, elle écartait les cuisses. Lui, la bite à la main, s’avançait. Elle plia les genoux, ouvrit son vagin des deux mains et avança le bassin vers lui. Il empoigna sa queue, visa l’orifice et s’y logea. Il resta ainsi, emmanché par le gland. Il posa ses mains sur ses fesses. Il les pétrit en donnant des petits coups de queue pour faire coulisser son gland dans l’ouverture du con.
    
    Il la dévisagea. Elle fit oui de la tête. ...