Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane (1) Tante Cécile
Datte: 03/06/2024,
Catégories:
Première fois
Auteur: Egrewam, Source: Hds
Nous vîmes le jour, ma soeur jumelle et moi, une nuit de février 1948 dans le modeste hôtel de montagne dont mes parents étaient propriétaires. À cette époque et dans ces régions oeuvrait encore la sage-femme, une clinique étant un luxe distant de 60 km., pratiquement inaccessible en hiver.
L'hôtel ! Est-il un endroit plus propice pour être entouré de femmes à longueur de journée ?
Les clientes et les employées de l‘hôtel, les amies et connaissances de mes parents, mes tantes et leurs amies. Petit garçon déjà me fascinait ce qu’elles ne montraient pas, ce qu'elles cachaient sous leur robe, ces créatures. Par terre assis au milieu de mes jouets, je me glissais sous les tables pour guigner leurs cuisses, et sublime plaisir, entrevoir une culotte.
Dames d‘âge mûr aux parfums capiteux, aux larges croupes, aux fortes cuisses, qui parfois me serraient un peu trop contre leur opulente poitrine en me faisant la bise. Jeunes femmes qui sentaient bon, qui taquinaient le “petit monsieur“ - j‘étais tout de même le fils du patron ! - en lui disant qu‘il était beau gosse et le faisaient rougir.
Toutes ces créatures alimentaient mes fantasmes érotiques et mes masturbations de puceau timide. Car j'étais affligé d'une timidité que je considérais comme étant incurable. Les "plaisirs de la chair", les “jeux interdits" comme on les appelait à l'époque, je les découvrais par personne interposée.
Lorsque un couple occupant la chambre attenante à la mienne faisait l‘amour, j‘étais ...
... à l’écoute l‘oreille collée à la cloison. Certaines nuits, il y avait des bruits de literie plus ou moins agités, je percevais des soupirs, j‘entendais des gémissements, des plaintes, parfois des cris et des mots que je n‘avais jamais entendus : - Oh, tu es si gros ! Oui ! Non, non ! Pas là ! Tu me fais mal ! NON ! OUI ! C‘est bon ! Continue !
Pourquoi suppliait-elle cet homme de continuer, puisqu‘il lui faisait mal !? Je ne comprenais pas très bien tout ça, j’essayais d‘imaginer. Mais ça m‘excitais terriblement et je m‘astiquais comme un fou, me faisant gicler deux, trois fois de suite.
Il y avait aussi des grognements et des râles :- Prends-la bien ! Cochonne ! Prends tout, salope ! Bois tout !
Il l‘insultait, et puis que voulait-il lui faire boire ?… Je vais demander à ma soeur. Je lui demandai. Elle bouda un jour ou deux parce que je ne lui avait pas fait part de mes écoutes nocturnes, puis me révéla ce qu’un monsieur fait boire à une dame.
Je devins définitivement voyeur le jour où je surpris madame B., une dame dans la cinquantaine venant une fois par semaine s‘occuper de la comptabilité et des livraisons, et son amant au fond de l‘économat.
Courbée en avant, les seins écrasés sur une table, la culotte baissée sur ses fortes cuisses largement écartées, ses grosses fesses offertes, elle se laissait sodomiser par un jeune livreur de fruits et légumes.
Les couilles de l‘homme balançaient, tapaient sa chatte et elle poussait des plaintes de femelle prise. ...