1. Yisingr


    Datte: 02/06/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, attache, fantastiqu, fantastiq, dominatio, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... immédiatement mieux, calme, détendue. Il poussa de nouveau sur sa nuque et, cette fois, elle se laissa faire. La barre se referma sur elle, emprisonnant son cou et ses poignets. Le dragon remit le clou-fermoir en place.
    
    Elle était prisonnière.
    
    En levant les yeux, elle voyait Bregnar. La main disparaissant sous le pagne ne laissait aucun doute sur son activité en cours.
    
    — Vous semblez apprécier le spectacle, grogna Marie-Gabrielle qui aurait vraiment préféré qu’il ne fût pas là.
    — J’avoue ne pas avoir été totalement honnête. Ma présence est nécessaire.
    — Nécessaire ? répliqua Marie-Gabrielle qui n’apprécia pas du tout qu’il lui ait menti.
    
    L’entrave sur sa cheville droite tira. Marie-Gabrielle dut suivre le mouvement, écartant la jambe correspondante. Bregnar étant assis devant elle, Yisingr était à l’origine de ce changement de position. Comment le dragon s’y prenait-il ? Marie-Gabrielle ne le voyait pas.
    
    — Crois-tu ressembler à une dragonne ? s’amusa Bregnar.
    — Je suppose que non, et alors ?
    — Pourquoi serait-il sexuellement intéressé par toi ?
    — Je le suis bien par lui, répliqua Marie-Gabrielle.
    — Remarque pertinente, convint Bregnar. Le fait est qu’Yisingr préfère les dragonnes. Sauf que les accouplements entre dragons sont dangereux. Les femelles sont imprévisibles. Une morsure ou une griffure sont vite arrivées. Le danger est moindre avec toi.
    
    Marie-Gabrielle gloussa tandis que son autre cheville subissait le même sort, l’obligeant à garder les ...
    ... cuisses écartées.
    
    — Et puis les dragonnes sont rares et assez peu réceptives, poursuivit Bregnar.
    — Les femmes sont plus faciles à violer, maugréa Marie-Gabrielle.
    — Je ne donne pas cher du dragon qui essayerait de s’accoupler avec une femelle non consentante.
    — Ça ne m’explique pas la nécessité de ta présence, cingla Marie-Gabrielle, tandis que la langue du dragon titillait son dos.
    — Yisingr et moi sommes en symbiose. Il ressent ce que je ressens. Si je ne bandais pas pour toi, il n’aurait aucune raison de le faire. Mon envie de te baiser amène le sien.
    — Pas trop dur de devoir te priver ?
    — Je ne me priverai pas, précisa Bregnar. Il te baisera, donc je te baiserai, à travers lui.
    
    Marie-Gabrielle n’était pas bien sûre de comprendre. Elle décida de laisser tomber. Le dragon allait la baiser, voilà tout ce qui importait. Son fantasme allait devenir réalité.
    
    Un doute l’assaillit.
    
    N’aurait-il pas mieux valu qu’il reste un fantasme ? Ne venait-elle pas de se mettre dans de beaux draps ? Tant de choses pouvaient mal se passer…
    
    Marie-Gabrielle se détendit. La langue du dragon titilla ses tétons et la prêtresse gémit de plaisir.
    
    — Ce n’est pas pour rien si les alchimistes donneraient père et mère pour une goutte de salive de dragon, s’amusa Bregnar. Ses propriétés sont incroyables.
    
    Marie-Gabrielle sentit son cœur accélérer et ses muscles se détendirent. Sa respiration se fit ample. Son sexe pulsa et la prêtresse gémit.
    
    — Prends-moi, puissant dragon ! Je ...
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