Karine et le plaisir de la soumission 5
Datte: 01/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... s’agrippent aux jambes d‘Henri.
- UN
- DEUX …
- … QUATORZE…
Les larmes coulent, en continue, ma chatte est bien luisante, je n’ai pas jouis. Je ne me suis pas trompée en comptant. Maintenant, que le hasard décide si la punition continue ou pas
- …
Je reçois le 15ème coup, je ne dis pas un mot, je ne compte pas. Que le hasard fasse son œuvre ! Mes fesses chauffent, je pleure à chaud de larmes, ma chatte coule abondement quand je me lève ma cyprine ruisselle le long de mes cuisses. Je n’ai pas jouis, c’était presque, mais non. Soudain, je trésaille, Aléa Jacta Est comme dirai ce bon Jules César, Henri demande
- « Pourquoi tu n’as pas compté QUINZE ? »
Le hasard est en marche. Henri s’est aperçu de ma faute « involontaire ». Hugo doit penser que je ne l’ai pas fait exprès et me juger en toute impartialité. Je dois faire semblant, alors comme si je venais de me rendre compte de mon erreur, je réponds vite, trop vite, précipitamment
- « C’était le dernier, pas besoin »
Maintenant, le cœur battant fort dans ma poitrine, j’attends sans oser regarder Hugo qu’il annonce le verdict du hasard. L’idéal pour moi, les quinze coups supplémentaires d’Henri, et cadeau du reste, sinon, je me contenterai d’une amnistie générale tant pis.
- « Henri a raison, on doit recommencer à zéro. Les autres, préparez-vous !»
Hugo, m’a-t-il encore devinée ? Malgré mon plaisir de savoir que la fessée va continuer, je pâlis en pensant à mes fesses après les cinq fois ...
... quinze… Oh ! c’est bien SOIXANTE-QUINZE coups que je dois encore recevoir. Si le hasard est l’ami de mon plaisir, je sens qu’il ne l’est plus pour mes fesses. Je dois faire quelque chose pour diminuer ou répartir un peu ce merveilleux supplice : je ne serai plus capable de rentrer à la maison après !
- « Je t’en supplie, je ne supporterai pas la fessée par les autres »
Je me jette à ses pieds. Je profite que je suis en larmes pour essayer d’infléchir son air inflexible. Je reprends en chougnant
- « Je t’en prie, mes fesses ne le supporteront pas, je ne pourrai plus marcher, mes parents vont s’en rendre compte. Je t’en supplie, pas tout aujourd’hui, répartie les fessées, je dois déjà les sucer quand ils en auront envie, ils pourront aussi choisir quand ils me fesseront. J’aurai non seulement tous les jours l’appréhension de ne pas savoir quand ce sera la fête à mes fesses, et je devrai me promener quatre autres jours avec les fesses rougies par une fessée cul nu. »
Un peu tendue, ma supplique semble avoir atteint sa cible mais sans certitude aucune, je m’installe sur les genoux d’Henri. Hugo me place pour qu’Henri puisse mieux voir ma chatte. Hugo prend alors la parole, je tremble en attendant sa décision
- « Henri te fesse aujourd’hui, les autres te fesseront les semaines prochaines chacun choisira un jour… trente coups chacun »
Je suis soulagée, j’ai gagné. Je vais non seulement encore être fessée ce soir, mais plusieurs fois le mois prochain, et tant mieux pour ...