Karine et le plaisir de la soumission 5
Datte: 01/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... été pour elle un révélateur, certaines tâches surtout. Elle m’a posé pleins de questions indiscrètes, et quand je lui ai dit que j’étais toujours vierge, elle a eu un regard plein de doute. Elle hésitait à me croire, alors, plus agressive, je lui ai dit que je l’autorisais à contacter mon gynécologue pour lui demander confirmation de ma virginité. Elle a été contrainte de valider ma version… mais son doute subsiste.
Mes parents ont repris le travail tous les deux après exceptionnellement une seule semaine de congés d’été : ils ont gagné un voyage pour deux aux Antilles par le comité d’entreprise de la société de papa, et le voyage est prévu en septembre ou octobre. Je leur dis que Hugo n’étant pas disponible aujourd’hui alors je vais retourner bronzer dans ma cachette en attendant qu’Hugo trouve un moment pour me voir. Pieux mensonge.
Je remonte dans ma chambre en faisant semblant d’être triste pour me préparer. Dès que je rentre dans ma chambre, j’envoie un SMS à mon chéri : c’est bon cette semaine, je serai à notre cachette tous les jours. Je me fais une queue de cheval, prends ma serviette, je mets mon jogging, un livre comme excuse. En embrassant ma mère, je prends les deux sandwichs que j’avais préparés, des biscuits et de l’eau.
- « Je serai de retour en même temps que vous, vers 17h30/18h, à toute… »
Et je sors toujours officiellement « triste ». Dès que je suis dans la forêt, j’ouvre ma veste de jogging, et je pars en courant. La veste s’ouvre et montre ...
... à tous mon soutien-gorge de sport. Je ne peux pas m’exhiber plus malheureusement, je connais trop de monde sur ce sentier. Arrivée à la cachette, je mets mes lunettes de soleil et me déshabille sans même vérifier la présence de voyeurs. Je reçois un SMS de Hugo : il n’arrivera que vers midi. Zut ! Je m’approche de l’eau, je nage dix minutes, enfin nue.
Puisque j’ai beaucoup de temps à l’attendre, je me dirige vers l’autre rive, je pars en exploration, à droite cette fois, je n’y suis jamais allé. La trace descend lentement le long de la rivière, au bout d’une demi-heure, j’arrive dans une grande propriété avec une bâtisse en ruines. Les herbes hautes et les orties me rassurent, personne ne vient plus ici. J’entends des jeunes qui jouent bruyamment, je me rapproche de la clôture. Il y a une falaise d’une dizaine de mètres qui empêche de continuer. D’ici, je peux voir ma rue, ma maison est cachée par la végétation de la forêt, la ville est en léger contrebas. J’en suis à 300 mètres à peine à vol d’oiseau. J’ai fait un bon bout de chemin à poil. Soudain j’entends une voix
- « Bonjour, Mademoiselle, vous êtes très belle »
Surprise et apeurée, je m’accroupis et me retourne… personne. La voix reprend doucement
- « N’ayez pas peur, vous êtes trop belle, je vous veux pas de mal »
J’ai l’impression que la personne est très proche, deux mètres maxi, mais je vois personne.
- « En bas, sur l’échafaudage. »
Je me penche un peu vers la falaise… cinq ouvriers sont en ...