1. COLLECTION FOLLE DU CUL. J’ai toujours vécu à mille à l’heure (1/2)


    Datte: 28/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Gonzalès.
    
    Lorsque je regarde Serge, mon mari, il y a eu ma rencontre avec celui que j’ai accepté d’épouser.
    
    Après Virgil et Enzo, au grand dam de mes parents j’ai eu quelques amants.
    
    Je faisais des études de chimie, mais profitant des largesses financières de mes parents, j’étais plus glandeuse que travailleuse.
    
    Ce couple parfait avait tendance à m’exaspérer, ils étaient trop lisses, mais s’ils avaient une vie parallèle, je l’ignorais et je voulais rester en dehors de leurs turpitudes, j’avais assez des miennes.
    
    Sans rentrer dans les détails, c’est dans le lit de notre médecin de famille que je me suis ouvert à cette vie intrépide m’apportant bien du plaisir, mais des tracas pour mes parents.
    
    Il m’a conseillé de courir.
    
    J’ai suivi son conseil dans le parc Montsouris que j’ai commencé la course à pied.
    
    Un jour, j’ai croisé celui que je devais apprendre s’appeler Serge et être directeur de banque non loin du parc.
    
    Serge qui dès le lendemain m’attendait pour que nous dépensions notre énergie ensemble.
    
    Serge, qui bien vite a été le compagnon idéal pour mes parents par sa douceur et sa patience avec une fille comme moi.
    
    Serge qui m’a rapidement fait l’amour sans les fioritures que j’appréciais, j’ai tenté la sodomie qui est restée lettre morte.
    
    Il plaisait à maman, c’était là le principal, elle arrêterait de m’emmerder afin que je devienne la même femme qu’elle est depuis son mariage.
    
    Je me suis mariée sachant que les mots « dans la ...
    ... fidélité» aussitôt prononcée aussitôt oubliée.
    
    Du moins dans les semaines qui ont suivi, car avant il y a eu notre installation dans son appartement avec vue sur la Seine qui a freiné mes besoins sexuels.
    
    J’ai couru jusqu’à être prête à faire plusieurs semi-marathons sur la planète France.
    
    À ce stade Serge me suivait à Mâcon, en Bretagne jusqu’à ce qu’il décroche à cause de son travail et les distances que je lui mettais dans la vue.
    
    C’est lui qui éteignait le feu qui couvait en moi jusqu’au marathon de Paris.
    
    Vu mes résultats sur 20 kilomètres j’ai décroché un dossard si recherché tellement l’engouement était grand.
    
    Les éthiopiennes et autres femmes de couleur noire m’ont devancé du moins une grande partie.
    
    Pour les autres, je suis arrivée bien placé malgré l’aide que j’ai apporté à Sandrine une jeune femme déjà vue dans le parc Montsouris , mais sans aucun contact que des regards.
    
    Elle avait un point de côté et était à deux doigts d’abandonné à moins de deux kilomètres de notre but.
    
    La foule était telle qu’il m’a été impossible de retrouver Serge.
    
    Sandrine habitait seule à quelques pâtés de maisons du lieu d’arrivée et m’a proposé de monter pour me réchauffer, car un orage avait balayé la ligne d’arrivée.
    
    C’est chez elle que nous nous sommes dénudées, Sandrine aurait eu une bite, je lui aurais sauté dessus tellement malgré la fatigue, mon adrénaline avait passé quelques paliers.
    
    Sandrine avait une salle de bain avec une douche à l’Italienne et ...