1. Seb – Just a quickie… !


    Datte: 28/05/2024, Catégories: forêt, Oral occasion, gay Confession, Entre, hommes, Jh, H, plus, âgé, Autostop, sodomie, bouleversement, existentiel., Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... grosse queue, me faisant éprouver un plaisir qui allait croissant… ses mots crus et ses insultes me ravissaient.
    
    Puissamment, il reprit de lents va-et-vient, m’agrippant les hanches, me tirant à lui, il les alternait avec des mouvements de rotation qu’il imprimait à son gros chibre, puis, c’était des à-coups violents et brefs, et pendant de longues minutes, tremblant de tous mes membres, il me fit jouir, râlant, geignant de volupté, me jetant d’orgasme en orgasme. Progressivement, je sentis un changement chez mon amant, il s’était tu, je le sentis se tendre… il eut un raidissement de tout son corps, les pénétrations se firent plus lentes, plus crispées, seulement accompagnées de feulements rauques, de plus en plus prolongés.
    
    Alors, il se retira presque entièrement, puis dans une étreinte brutale, me faisant crier, il m’attira à lui, m’enfonçant jusqu’aux couilles sur son mandrin, et avec de courts grognements rauques laissa éclater toute sa charge en moi… Il finit d’éjaculer en embrassant mon dos, mes épaules, mon cou, me murmurant des compliments salaces…
    
    Je restai un long moment étourdi. Retrouvant mon souffle, encore hébété de jouissance et de stupre, je chassai son gros vit alors redevenu flaccide.
    
    — Ah ! Salope… Tu m’as fait jouir, toi ! T’as un cul… ! Oh ! Que c’est bon ! Que c’est bon… ! T’es une belle petite pute… T’aimes ça, hein ? T’as aimé ma grosse queue ? Je t’ai fait jouir, hein… ?
    
    Encore étourdi par la tempête érotique qui me jetait ...
    ... maintenant, brisé, aux rivages du réel, j’avais peine à réaliser…
    
    Ce ton trivial, sa muflerie, sa brutalité m’avaient choqué. Mais… oui… oui, il m’avait fait jouir, d’une manière que je n’avais jamais connue avant lui. Il avait fait de moi sa chose, l’objet qu’il avait utilisé selon son bon plaisir, me soumettant totalement à son désir… et j’avais adoré ça !
    
    Nous sortîmes du buisson de genêts.
    
    Je n’avais qu’une envie… y retourner. Ce que, stupidement, je me refusai de lui dire…
    
    Dans la voiture, sur la route du retour, Il ne cessa de me caresser, de me cajoler, de m’embrasser, fébrile… Me paumant encore un peu plus… ! Tant de prévenance et d’attention…
    
    — T’as été extra… ! J’ai adoré te baiser, chéri. Tu m’as fait jouir… Oh, c’était super… ! On se revoit, hein ? Tiens, je te donne ma carte… tu sais, tu es le seul à l’avoir… Tu m’appelles, hein, sûr ? … moi je peux pas te joindre… mais tu fais gaffe, hein ? Souvent, c’est ma femme qui décroche… Donc là, tu dis : « Laboratoires Siregan, pourrais-je parler à… ». Je saurai que c’est toi, Siregan, tu te souviendras, hein ? Pontoise, c’est pas loin, en une heure je suis là… et puis tu peux venir toi aussi… Là, la chambre d’hôtel, je te l’offre. Tu m’appelles, hein ? … jure-moi que tu vas appeler !
    
    Je jurai.
    
    Il me raccompagna, jusqu’à une centaine de mètres de chez moi. Il était un peu plus de dix-neuf heures.
    
    — Fais pas le con… Appelle !
    
    Il me regarda intensément.
    
    — Je t’aime… !
    
    Cela claqua comme un coup de ...
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