Seb – Just a quickie… !
Datte: 28/05/2024,
Catégories:
forêt,
Oral
occasion,
gay
Confession,
Entre,
hommes,
Jh,
H,
plus,
âgé,
Autostop,
sodomie,
bouleversement,
existentiel.,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... notre terrain de jeux quand nous étions mômes, je connaissais le coin comme ma poche.
— On y est bientôt… Après le champ, tourne à gauche, dans le chemin.
Il mit le clignotant et vira. C’était un petit chemin de terre, défoncé, il dut
rouler au pas. Je lui indiquai un endroit rencogné où garer sa voiture.
Cela fait, il se tourna vers moi, m’attira à lui, et m’embrassa, dans un baiser vorace, alors qu’il essayait d’ouvrir mon jeans.
— Attends ! Viens, on sort ! Je t’emmène !
Je sortis de la voiture, claquai la portière, il en fit autant.
C’était un type sanguin, de taille moyenne, mais très large et corpulent. Il affichait toujours son sourire dominateur, mais je sentais à ses regards qu’il n’était pas à l’aise.
— Tu veux faire ça, dehors ?
— Tu as un meilleur endroit ? Qu’est-ce que tu proposes, une chambre d’hôtel ?
— La prochaine fois, t’en auras une…
— Viens… je vais te montrer un truc.
Après qu’il eut pris une couverture dans le coffre, il verrouilla les portes.
L’endroit était entièrement couvert de buissons de genêt, et je sais, d’expérience, depuis que je suis minot, qu’au milieu de ces buissons se trouvent des niches, parfois vastes, absolument invisibles de l’extérieur.
Très vite, j’en découvris une qui convenait parfaitement pour accueillir nos ébats.
Il chuchota :
— Extra !
J’enlevai mon pull et mon T-shirt et les jetai dans l’herbe, pendant qu’il étendait la couverture. Il s’approcha, me prit dans ses bras et ...
... m’embrassa longuement. Je bandais. Il colla son entrejambe sur ma cuisse et je sentis que lui aussi était très excité.
Vite, je débouclai ma ceinture, enlevai mon pantalon et mon caleçon, j’étais nu… Que c’était bon !
— Tu n’as pas peur que… ?
— Aucun risque, ça ne craint rien !
Il avait baissé son pantalon et je voyais son gros mandrin turgide tressauter, agité de spasmes d’excitation.
Enfiévré par l’érotisme de la situation, il me regardait :
— Tu es vraiment une belle petite salope ! … Viens ! Viens mon giton… !
Je m’approchai. Il me prit dans ses bras et se mit à me caresser, tout en m’embrassant. Je le caressais, le branlais, et notre excitation montait, en témoignaient nos souffles et nos râles.
Doucement, fermement, il pesa sur mes épaules dans un ordre muet. Je me baissai et m’accroupis, caressant son ventre. Il prit mon visage entre ses mains crispées.
— Suce-moi, petite pute, j’ai envie que tu me suces !
Entre ses jambes velues se dressait son puissant gourdin que je voyais tressauter. En même temps que je me masturbai doucement, je caressais les lourdes couilles, j’effleurais du bout des doigts l’épaisse hampe, impressionné par la vue de l’énorme mentule que je me mis à branler doucement, fasciné par l’impression de puissance que dégageait le gland congestionné que je décalottais à gestes lents.
Je me saisis de la lourde hampe. L’enserrant, maintenant, fortement des deux mains, je me mis à la branler lentement, envoûté par la vision de ...