La petite chienne de Maîtresse P. 18
Datte: 25/05/2024,
Catégories:
Transexuels
Auteur: byGinaputana, Source: Literotica
... le moment de ton changement effectif de genre. Depuis ce matin, le garçon que tu étais n'existe plus, mais une femelle addicte à la bite et au sperme est née et l'a remplacé. Tu vas faire des malheurs lorsque nous reviendrons. Ces prochains jours je vais te laisser tranquille, tu le mérites, pour te permettre de récupérer des émotions intenses de ce soir. Dis-moi franchement, as-tu dans ta vie déjà vécu des sensations aussi intenses?
-Non Maîtresse, je dois vous avouer que ça restera gravé éternellement dans ma mémoire, tellement c'était puissant, mais autant comme un événement d'une intensité exceptionnelle que comme un espèce de traumatisme positif.
A partir de cette étape, ma relation avec Maîtresse a beaucoup changé. Certes elle était toujours la Maîtresse et moi alternativement son petit toutou ou son taureau, mais une certaine complicité s'était installée entre nous, m'amenant à me sentir en grande confiance envers elle. J'étais bien sur secrètement follement amoureux de ma Maîtresse mais j'avais l'impression qu'elle n'était plus du tout aussi indifférente à moi et qu'au delà des apparences de son rôle de Maîtresse, elle devait elle aussi éprouver des sentiments à l'égard de son toutou. Mais pour donner une image, cela s'apparentait beaucoup plus à cette forme d'amour que des femmes donnent à leurs petits chiens de compagnie adorés, auxquels elles tiennent et qu'elles choient comme leur petit enfant, qu'un amour entre êtres humains. Cela ne me dérangeait ...
... absolument pas et le sentiment d'être aimée comme une vraie petite chienne de compagnie contribuait à alimenter mon bonheur de soumise masochiste.
Je restais bien sur l'esclave, la petite salope dépravée, la chienne lubrique et masochiste de Maîtresse Irina. J'étais utilisée journellement pour calmer ses besoins de nymphomane, mise sous cialis, je devais subir régulièrement des séances d'entraînement bdsm dans le donjon, attachée et cravachée, punie, mise sur des instruments de torture. J'étais aussi régulièrement humiliée, Maîtresse aimait me montrer à quel point cela l'excitait de me voir dégradée, tenue en laisse, parfois obligée de manger à ses pieds dans une écuelle, lui lécher ses bottes, embrasser ses pieds, me faire étaler du sperme sur mon visage ou devoir boire son urine. Elle recevait aussi beaucoup plus et naturellement que j'étais mise à disposition de ses invités pour être utilisée sexuellement, souvent de manière brute, juste violée sur la table du salon, devant elle. En même temps Judith continuait de s'occuper de moi, surtout de mon habillement et de parfaire ma gestuelle hyper féminine dans les plus petits détails. Avec elle je devenais de plus en plus bimbo, cultivant cette attitude de « sissy bimbo brainless fucktoy », une bimbo salope et à laquelle on avait complètement vidé le cerveau et que je devais adopter désormais devant chaque visiteur. Judith m'avait même appris à dire des bêtises avec un air de parfaite nunuche en les imitant, pour faire croire à mon ...