1. La petite chienne de Maîtresse P. 18


    Datte: 25/05/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byGinaputana, Source: Literotica

    ... abusés. D'autres au contraire étaient clairement des Maîtresses, habillées avec des catsuit en cuir, portant des cuissardes, certaines très travaillées, à lacets et avec des ceintures, avec de très hauts talons aiguille aussi, des bustiers cuir ou même des corsets ceinturant la taille et relevant encore plus une poitrine visible, mais totalement inaccessible, une chatte cachée derrière un accessoire vestimentaire qui attire le regard mais la rend tout aussi intouchable. Certaines étaient déjà équipées d'un gode ceinture et/ou d'une cravache dans les mains ou accrochée à la ceinture, voire une casquette en cuir, façon militaire. Toutes les Maîtresses étaient terriblement bien maquillées affichant incontournablement un air sévère sur elles. Il en allait de même pour les hommes, certains étant visiblement des soumis, eux aussi vêtus de peu de chose, avec des chaînes, des lanières, des attaches, d'autres étaient des Maîtres souvent très très cuir. La plupart des hommes avait leur pénis à l'air, souvent déjà bien dressé. Tous avaient bien sur pris leur dose de Cialis, mis à disposition lors de l'apéritif. Si durant la soirée tous les convives étaient en couple, visiblement dans la cave, il en allait tout autrement le mélange des genres était différent, avec des Maîtres tenant en laisse des esclaves masculins et des Maîtresses avec leurs chiennes lesbiennes. Penser que la plupart de ces soumis et soumises étaient dans la vie normale des personnalités, souvent dirigeantes, avait ...
    ... quelque chose d'assez piquant.
    
    Maîtresse était tellement habituée au lieu et à ses activités qu'elle ne faisait pas du tout attention. Un domestique de la maison lui avait apporté un joug ancien et lourd, qui ne détonnait pas parmi les nombreux instruments de torture et d'humiliation présents, dont les trois ouvertures (cou et poignets) étaient bien rembourrés et recouverts de doux cuir, ainsi qu'un banc molletonné recouvert lui aussi de cuir noir molletonné, disposé juste derrière. Après avoir retouché mon rouge à lèvre et mon maquillage, elle me fit me mettre à plat ventre sur le banc en cuir pour ajuster mon positionnement et poser mon cou et mes poignets sur les 3 demi ouvertures du joug ouvert par la moitié, avec le rabat tenu par une épaisse charnière. Le contact de la matière était doux et agréable, fait pour y demeurer de longues heures.
    
    -Es-tu confortable me demanda-t-elle?
    
    -Oui Maîtresse, ça va très bien.
    
    -Il faut que tu te sentes bien car tu vas devoir rester longtemps, même très longtemps dans cette position ma belle salope.
    
    Je lui répondis encore une fois que ça allait. J'étais bien installée. Le domestique régla finement la position du banc afin qu'il s'arrête exactement au niveau de ma taille et que mes jambes puissent se plier et appuyer par terre, tout en ayant le cou et les poignets installés et bien prisonniers du joug. Au bas du bac se trouvaient deux gros anneaux auxquels on attacha mes bracelets métalliques, m'immobilisant ainsi dans une ...
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