1. Elephant’bite


    Datte: 23/05/2024, Catégories: hh, copains, sport, vidéox, Oral hsodo, gay Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... un tour de main je me suis fini, pour à mon tour éjaculer en regardant cette grosse queue dégorger tout son jus. Mes yeux étaient maintenant rivés sur elle et ne pouvaient plus s’en détacher…
    
    — Eh bien, dis donc… quel pied et quelle affaire ! me suis-je extasié. C’est beau de voir ta bite juter.
    
    Mais le petit gros semblait passablement gêné par ma remarque et mettait maintenant sa main devant pour cacher sa trique. J’ai pris à ce moment conscience d’avoir peut-être été un peu trop loin ou un peu trop vite avec lui.
    
    Pour détendre l’atmosphère, je lui ai proposé un petit pétard que j’ai roulé pendant qu’il se reculottait. Nouvelle horreur que je lui proposais. Mais il ne fit pas trop de chichi et voulut bien, malgré tout, essayer. À vue de nez, je le dévergondais.
    
    Le reste de l’après-midi fut quand même beaucoup plus sage. Il fouilla parmi mes caisses de bouquins et trouva quelques ouvrages qui l’intéressaient, puis nous nous installâmes tranquillement sur le lit pour écouter de la musique en discutant de science-fiction. Et, sur les coups de 18 heures, il dut retourner chez lui pour ne pas se faire enguirlander.
    
    Quelques jours plus tard, le voici qui m’appelle un soir. Manifestement, il était en larmes. Il sortait de l’entraînement et les autres lui avaient encore fait une grosse vacherie. Ils l’avaient ceinturé dans les douches et l’avaient maintenu à poil sur le carrelage. Puis ils lui avaient fauché son portable pour le photographier sous toutes les ...
    ... coutures avec sa bite énorme, en rajoutant tout près d’elle diverses pancartes évocatrices pour agrémenter les photos : « Pine d’éléphant pour obsédée sexuelle » ou « Cherche désespérément salope acceptant les monstres ».
    
    Puis ils avaient décidé d’envoyer les clichés, sous forme de MMS, à toutes les filles de son bahut, en tout cas à toutes celles qu’ils avaient pu trouver dans son répertoire. Impensable pour lui de retourner à son école le lendemain et il ne voulait définitivement plus entendre parler de rugby. Il préférait se suicider.
    
    Je lui proposai de passer à la maison avant de rentrer chez lui, histoire d’en discuter, il accepta tout de suite. Il avait besoin de se confier, d’avoir un ami qui le soutienne. Ma mère était là, mais ne fit aucun commentaire devant l’apparition de ce gros garçon en pleurs, elle estimait que cela ne la regardait pas et nous laissa nous enfermer tous les deux dans ma chambre. Romuald se mit alors en boule sur le lit pour sangloter tout son saoul. J’étais bien embêté et ne savais pas comment m’y prendre face à ce désarroi que je jugeais immense. Je suis venu près de lui, j’ai essayé de le prendre dans mes bras, mais il semblait inconsolable.
    
    — Allez, ce n’est pas si grave que ça…
    — Tu ne te rends compte de la pub qu’ils vont me faire, ces salauds. Je n’aurai jamais le courage d’affronter le regard des filles à mon bahut.
    — Peut-être qu’ils ont fait semblant de les envoyer pour te faire peur !
    — Non, Natacha m’a envoyé un SMS pour me dire ...
«12...678...15»