1. Elephant’bite


    Datte: 23/05/2024, Catégories: hh, copains, sport, vidéox, Oral hsodo, gay Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... C’est certain, je n’avais rien à faire chez ces gens-là et, si ce n’est mon respect pour Romuald, j’aurais volontiers gravé d’un coup de canif rageur leur coupé 307 cc, ou mis le feu à leur baraque pourrie.
    
    ***********
    
    Quelques jours plus tard, un samedi après-midi, ma mère était en vadrouille et j’étais seul dans la cambuse, je glandais. J’eus alors l’idée d’appeler Romuald :
    
    — Ça te dirait de venir faire un saut à la maison ?
    — Je vais essayer, mais je ne sais pas si mes parents vont bien vouloir…
    
    À presque vingt ans, il réagissait comme un vrai môme.
    
    — Enfin, fais comme tu veux, ajoutai-je, un peu dépité.
    
    Finalement, une heure plus tard, il était là. Il rentra, affolé, dans ma caverne d’Ali Baba en s’émerveillant de tout, de mes enceintes surdimensionnées, de mes montages électroniques tarabiscotés, de ce foutoir énorme dans lequel il avait du mal à se frayer un chemin et même des cendriers qui débordaient un peu partout dans la bicoque. Ma mère était une grosse fumeuse et se tapait trois paquets par jour. Quant à moi, lorsque je fumais, c’était du shit, mais toujours avec modération.
    
    Nous nous installâmes sur le vieux canapé miteux et défoncé qui trônait au fond de ma piaule.
    
    — Qu’est-ce que tu as envie de faire ? lui demandai-je. Ça te dirait de voir un film de cul ?
    
    Le petit gros faillit presque s’étouffer tellement l’idée lui sembla saugrenue et incorrecte.
    
    — Tu as des films de cul ?
    — Ben oui. J’en ai plein. J’en télécharge souvent ...
    ... sur Internet. Alors, ça te dit ? On s’en met un ? Tu aimes quel genre ? Les blondes, les rousses, les grosses, les vieilles, les noires, les gamines, les putains ?
    
    Il n’en savait foutre rien.
    
    — Mets ce que tu veux, me dit-il. Je te fais confiance.
    — J’en ai un qui a l’air super que j’ai commencé à regarder l’autre soir. Ça se passe dans un couvent de bonnes sœurs…
    
    Le temps de basculer la sortie vidéo vers mon écran plat et je mis le film en route. Dès le début, je vis que Romuald n’en perdait pas une miette. Il avait les yeux rivés sur l’écran comme s’il n’avait jamais vu un bout de nichon de sa vie. Les nanas qui faisaient office de bonnes sœurs étaient évidemment de sacrées salopes et devaient avoir été baptisées au jus de bite ; le curé, un vieux vicelard lubrique et Jim, le jardinier, un étalon infatigable, armé d’une queue surdimensionnée. Les scènes de baise s’enchaînaient, gros plans sur des pipes, pénétrations en tous genres, dans la chatte puis dans le cul, avec les ahanements de rigueur, un bon standard ricain. Mais ce qui me plaisait surtout dans ce film c’est qu’il y avait un semblant de scénario : il y avait en toile de fond cette jeune fille réservée et timide que ses parents avaient placée au couvent pour lui donner une éducation sérieuse, et qui devenait au fil de ses rencontres la pire des nymphomanes. En plus, la belle ressemblait comme deux gouttes d’eau à une nana que j’avais récemment draguée…
    
    Excité comme un pou, je sortis bientôt ma bite et ...
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