Un long dimanche sous la pluie
Datte: 22/05/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
poilu(e)s,
strip,
odeurs,
pied,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
initiatiq,
diffage,
Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe
... lentement en direction de ses seins.
Il alternait les baisers bouche fermée avec des baisers langoureux, la bouche pleinement ouverte et la langue goûtant l’épiderme salé de sueur. Le cops voluptueux allongé sous ses yeux commençait à onduler et gémir sous les mouvements coordonnés de sa main jouant à courir de l’intérieur des cuisses à la peau, douce, du petit ventre douillet ; jouant à s’approcher chaque fois plus près sans jamais toucher le sexe dégoulinant de la jeune femme ; et sa bouche parvint enfin à la cime d’un mamelon dressé et ivre d’attendre d’être sucé. Une première libération arracha un gémissement plus fort au contact des lèvres qui avalaient et suçaient le téton goulûment, le léchait puis le suçait de plus belle.
De son côté, l’autre main osa un premier contact en effleurant le duvet du mont de vénus au droit de la fente largement ouverte du sexe de Marie-Claude. Le deuxième passage pénétra plus en profondeurs dans l’épaisse toison sombre. Le troisième écarta franchement les poils drus pour venir parcourir le sillon, s’attardant sur le capuchon du clitoris déjà dressé.
Mue par une sorte d’instinct ancestral, la bouche de Martin commença à dévaler doucement la peau moite du ventre qui palpitait au rythme de la respiration rapide de la jeune femme.
— Viens, goûte-moi, lèche-moi, s’il te plaît.
— Oui, tu mouilles. Je sens ta chatte mûre et détrempée. Tu as envie de sentir mes lèvres se poser dessus et te fouiller.
— Oui, mon Dieu, oui, s’il te ...
... plaît.
Les mains de Marie-Claude se relevèrent pour venir se poser sur la tête du garçon arrivé en haut de la dernière colline le séparant du Saint des Saints. Ses doigts se perdirent dans la chevelure du jeune homme et pressèrent son visage de descendre davantage. Martin savoura de retrouver ce parfum qui l’avait enivré l’autre matin. Il figea son visage à quelques centimètres du sexe offert sous ses yeux.
— Ton sexe est si beau. Il est là ouvert et orné de sa crinière sombre. J’ai envie de le goûter, de le savourer et de le presser dans ma bouche comme on presse un fruit pour en recueillir tout le jus.
Comme il l’avait fait avec la poitrine, Martin commença par souffler doucement. Le souffle sur la chair détrempée provoqua une sensation de fraîcheur autant qu’une douce caresse qui électrisa le corps de la jeune femme qui accentua la pression sur la tête du garçon pour qu’il abrège son agonie. Loin de se laisser précipiter, il commença par déposer de légers baisers tout autour des lèvres et de la vulve, passant au-dessus du clitoris, redescendant puis remontant, se rapprochant chaque fois un peu plus du cœur. Puis sa bouche se posa à l’orée d’une des grandes lèvres et commença à la remonter lentement. Chaque baiser provoquait le ruissellement d’un nouveau filet de mouille qui venait maculer la bouche et le visage de Martin et savourait ce goût devenu familier en si peu de temps. La bouche parcourut le dernier centimètre et vint se poser sur le clitoris, encore à moitié ...