1. La métamorphose de la chrysalide


    Datte: 19/05/2024, Catégories: fh, fhh, inconnu, train, Oral Partouze / Groupe fsodo, extraconj, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... utilisée. Je lui prends une main, la mets sur son sexe et lui demande de se masturber. Après quelques instants, je commence quelques va-et-vient avec mon doigt et je sens l’œillet s’assouplir. Il est temps de mettre le pouce. La progression est difficile, mais petit à petit, le passage se fait. Je la sens souffler fortement, sa main s’agite dans sa chatte.
    
    — Vas-y maintenant, me souffle-t-elle.
    
    Je lui écarte les fesses et pose mon gland contre sa collerette. Heureusement, ma queue a perdu un peu de la raideur et de la taille qu’elle avait après la pipe et je peux m’introduire sans trop de difficulté jusqu’à l’œillet. Je pousse doucement, je sens Noémie haleter, ses doigts s’agitent dans son con, je pousse encore et l’œillet me laisse passer. J’arrête ma pénétration, Noémie se calme petit à petit. Puis, je reprends mes allers et retours, de plus en plus profonds, m’introduisant dans son cul très serré. La respiration de Noémie est en phase avec mes poussées, respirant quand je me recule, soufflant quand je m’enfonce plus profondément. Progressivement, elle se calme et je peux m’introduire à fond. Ma queue est tellement comprimée dans son cul que, si je n’avais pas joui quelques minutes auparavant, j’aurais eu du mal à me contenir. Je peux maintenant aller et venir, sa respiration reste calme et j’augmente la cadence et l’amplitude de mes pénétrations. Tout à coup, la respiration de Noémie s’accélère, je ralentis.
    
    — Ne t’arrête pas !
    
    Je reprends mes grands coups de ...
    ... queue, mes testicules touchent son cul. Elle m’accompagne maintenant, son bassin venant à la rencontre du mien pour mieux m’absorber. Elle est maintenant déchaînée, ses cris sont étouffés dans l’oreiller, ses doigts pénètrent à grands coups dans sa chatte. Elle me lance abasourdie :
    
    — Je jouis !
    
    Je continue à la pilonner, ses paroles deviennent inaudibles, elle s’effondre sur le lit, se libérant de mon sexe. Je me branle au-dessus d’elle et éjacule en longues giclées sur ses fesses, son dos. Et je tombe sur elle.
    
    Peu après, elle se dégage, file dans la salle de bain. L’eau coule, nos ébats ont laissé des traces. Quand je la rejoins, elle termine de se sécher.
    
    — Reste un peu avec moi, me dit-elle.
    
    Je passe sous la douche et quelques minutes plus tard, je la rejoins dans le lit. Juste avant de s’endormir, elle murmure :
    
    — J’aime vraiment ta queue.
    
    Plus tard dans la nuit, un vent de fraîcheur me réveille. Elle n’est plus près de moi. Je me redresse et l’aperçois en contre-jour. La porte-fenêtre est ouverte, elle est appuyée, nue, contre la rambarde.
    
    Je viens derrière elle. Sans se retourner, elle me souffle :
    
    — J’ai peur.
    — …
    — J’ai peur de ce qui m’arrive.
    — …
    — J’aime mon compagnon, j’aime faire l’amour avec lui, nous sommes heureux. Mais toi que je ne connaissais pas il y a quelques heures, tu m’as ouvert des horizons inconnus. Je n’avais jamais imaginé que je pouvais avoir autant de plaisir avec un homme.
    — Tu avais des blocages, des tabous. ...
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