La métamorphose de la chrysalide
Datte: 19/05/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
train,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
extraconj,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... étiez ?
Ma question reste sans réponse. Je reprends :
— Vous y étiez, au défilé ?
Il semble se réveiller et m’explique en quelques mots son métier. Très vite, je comprends qu’il peut m’aider dans mon reportage et, quand il me propose d’aller boire un verre à la voiture-bar, je l’accompagne.
La discussion est intéressante et je découvre les différentes facettes de son métier. On le sent passionné, mais j’ai l’impression de le forcer à parler.
Soudain, un cahot m’envoie contre lui. Il me retient dans ses bras et je ressens une énorme érection. Il ne me lâche pas, mon pubis est appuyé sur son sexe, son visage est pâle, le regard brûlant. Je n’ai jamais ressenti comme cela la puissance du désir masculin. Pour dédramatiser l’atmosphère, je lui lance :
— Heureusement que nous ne sommes pas seuls. Sinon, vous feriez quoi ?
Sa réponse me stupéfait.
— Je t’emmènerais aux toilettes, je te baiserais la bouche, je te baiserais le con et je me finirais dans ton cul !
Mais, à ma grande surprise, je ne le gifle pas. Je suis désarçonnée et profondément troublée. Ses mots ouvrent en moi une digue, je me sens submergée par une envie irrépressible. Alors, il se met à me parler de la nuit qu’il voudrait passer avec moi, de la découverte de mon corps, du désir qu’il veut que nous partagions. J’ai conscience qu’un barrage cède en moi. Son désir exprimé de façon aussi brutale, non seulement ne m’inquiète pas, mais rentre en résonance avec mon feu intérieur. J’oublie tout, ...
... mon mec, mon petit gars, où nous sommes et je lui demande de me baiser tout de suite.
Il me prend par la main, m’entraîne vers les toilettes, me fait asseoir sur la cuvette, referme la porte, sans prendre le temps de mettre le loquet, baisse son pantalon. Juste devant mes yeux, son sexe en érection balance, il me paraît énorme. Il avance et pousse son mandrin dans ma bouche. Avec Benoît, je pratique la fellation, mais surtout pour démarrer sa bandaison. Il me tient la tête et s’enfonce par à-coups dans la gorge. Je suis à moitié étouffée, mais de sentir sa bite en moi m’emplit d’une joie profonde. Ma bouche est distendue par sa queue, mais j’arrive progressivement à la rentrer. Quand ses couilles arrivent au contact de mes lèvres, il pousse un grognement approbateur. J’en éprouve une étrange satisfaction et j’attends sans appréhension qu’il me crache dans la gorge.
Soudain, il se retire.
— Enlève ta culotte.
Pendant que je m’exécute, il se branle devant moi avec vigueur, sa queue est tellement gorgée de sang qu’elle en est violacée, les veines sont saillantes, le gland complètement décalotté.
— Tourne-toi.
Je me retourne, mes deux bras se mettent en appui sur le mur. Il me remonte la jupe au-dessus des reins, découvrant mon cul dénudé.
— Écarte les jambes !
Il me met deux doigts dans la chatte, il peut constater que je mouille abondamment. Sa queue me pénètre d’un coup. J’ai l’impression que mon vagin va se déchirer, je me sens remplie jusqu’au col de ...