My blue swedish shoes
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... robe. Me laissant mieux admirer ses jolies jambes dévoilées jusqu’à la limite opaque de ses bas. Beau spectacle ! Et quelle bénédiction que la mode impose ce genre de lingerie aux femmes. Il y a cinquante ans de cela, le sexe faible en dévoilait nettement moins, et c’était regrettable, même si je n’ai pas connu cette époque d’avant la Grande Guerre.
Rachel se met un peu plus sur le côté, dévoilant un peu plus ses gambettes. À présent, j’ai le grand plaisir de découvrir sa chair au-delà du bas, ainsi qu’une attache. Ça me fait un certain effet ! Rachel n’est pas précisément un mannequin, son visage est assez classique, mais je constate que sous les vêtements, son corps n’est pas négligeable !
J’ai un mal de chien à résister à l’envie de caresser du bout des doigts cette peau nue ! J’essaye de penser à autre chose, mais c’est difficile. Voyant qu’elle dort, je laisse glisser délicatement mes doigts sur sa chair blanche. Rachel se met à gémir un peu. Je retire précipitamment ma main. Une étrange expression s’affiche sur le visage assoupi de ma voisine, comme celle d’un enfant à qui on vient de retirer son jouet. Alors, je retente ma chance. Elle gémit à nouveau puis laisse échapper :
— Augustin…
Ça me refroidit un peu. Dommage pour elle qu’il soit mort dans un accident. Mais quelque chose me dit que cet Augustin ne devait pas être un grand ascète et qu’il devait avoir une inclination pour les plaisirs de la chair. Chose qui me semble moins probable avec l’actuel ...
... Roger.
Je la caresse délicatement une dernière fois, puis je réajuste sa robe afin de ne plus être tenté. Cette Rachel est particulièrement sexy, vue ainsi. Aurais-je le plaisir de la croquer durant notre séjour ?
Un peu avant l’atterrissage, Rachel se réveille. Nous récupérons vite nos bagages. Un chauffeur mandaté par la maison-mère vient nous chercher et nous dépose à l’hôtel où deux chambres ont été réservées pour nous. C’est vrai que, pour un mois de mars, il ne fait pas froid, le printemps est visiblement présent.
L’heure du repas arrive vite. Nous dînons ensemble :
— Je suis étonnée qu’il fasse si bon dehors ! Pourtant, Stockholm est haut sur la carte, plus haut que le haut de l’Écosse !
— C’est vrai. Mais parfois, c’est l’inverse. Je suis déjà venu ici en juillet, il faisait un sacré froid de canard !
— Vous croyez qu’on aura le temps de visiter la ville ?
— Je vais me renseigner pour louer un bateau pour la journée.
Ma voisine hausse les sourcils :
— Un bateau ?
— Stockholm est très aquatique ! C’est un dédale de chenaux et d’îles. À l’accueil, il y a un plan des environs, penchez-vous dessus et vous verrez que ça peut devenir un vrai labyrinthe pour celui qui a oublié d’embarquer une carte.
— J’irai voir ça à l’accueil…
Je deviens un peu plus sérieux, puisque je vais parler boulot :
— Parlons peu, mais parlons bien, Rachel. J’espère fortement que notre visite sera bénéfique pour nous. J’ai diverses idées à proposer à notre cher grand patron ...