1. L'occasionnelle fait le larron


    Datte: 15/05/2024, Catégories: fh, fffh, hagé, jeunes, couleurs, extracon, cocus, inconnu, fépilée, complexe, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation fdanus, portrait, Auteur: Uglisse, Source: Revebebe

    ... interlocutrice. Les étudiantes, qui allaient sur le terrain pour « la chose », refusaient les contacts directs, par discrétion. Tout devait être convenu avec elle, à l’avance, pour éviter les malentendus. Serge dut détailler ses desiderata, avec une précision chirurgicale des plus intrusives. Ça lui fut malaisé. Mais moins par téléphone avec une tierce personne, que ça ne l’eût été face à face avec celle qui ferait « la chose ». La fille dit qu’elle rappellerait, après avoir tout expliqué à Lissa(l’étudiante en question). Ainsi fut fait, et le rendez-vous fixé, à son domicile, un samedi, pendant lequel sa femme « travaillait » à La Baule. S’agissant d’une première fois, Lissa serait accompagnée d’une amie, par mesure de sécurité.
    
    Le jour S(un samedi), Serge était fébrile. Une heure à l’avance, il s’était scotché à sa fenêtre, scrutant l’entrée de la résidence. Enfin, deux Africaines apparurent : brassière suspendue à la poitrine, jean déchiré, tennis flashy. Celle qu’il identifiait comme Lissa avait ses drôles de tresses et portait un sac à dos. Quand elles entrèrent dans son immeuble, Serge se colla au judas de la porte de son appartement. Les allers et retours de l’ascenseur manquaient de le faire défaillir. Puis il découvrit les deux étudiantes dans l’optique déformante. La sonnette tinta trois fois, comme les trois coups, au théâtre.
    
    Avec des jeans genre Monoprix qui laissaient apparaître leur string, les filles faisaient cheap. Mais elles provoquaient un trouble ...
    ... inexprimable, celui de la grisette. Émanait d’elles ce charme discret de l’occasionnelle, qui fait le larron. Après les présentations, au demeurant superflues, Lissa fila dans la salle de bain. Elle en sortit en talons aiguilles seulement, transportés dans le sac à dos. Elle demanda :
    
    — C’est à votre femme, toutes les culottes, dans la salle de bain ?
    — Oui.
    — Elle va pas rentrer, au moins ?
    — Non, elle est à La Baule.
    — Où ça ?
    — La Baule, sur la Côte d’Amour.
    — L’amour ? fit la jeune femme, perplexe.
    
    Dans l’appartement, le décor était en place. Il y avait un canapé, dans lequel Aïssatou(l’accompagnatrice) avait pris place. Serge s’était déshabillé, pour s’asseoir tout nu sur une chaise, face à un tabouret. Lissa se mit debout, entre Serge et le tabouret. Son corps était d’une perfection stupéfiante. Ses seins, lourds et légers à la fois, virevoltaient au moindre mouvement qu’elle esquissait. Serge doutait : rêvait-il ? Il hésitait à bander !
    
    Ce fut Aïssatou qui le débloqua. Celle-ci avait la mission de surveiller mais semblait quelque peu embarrassée. Une scène de sa jeunesse revint à Serge. Il allait au lycée à pied, longeant une voie de chemin de fer de banlieue. Le matin de bonne heure, l’atmosphère était souvent brouillardeuse. Comme des ouvrières se rendaient au travail, dans les usines alentour, il en profitait pour les surprendre, le sexe sorti de la braguette. La première, c’était l’érection. La deuxième, la masturbation. La troisième, l’explosion ...