L'occasionnelle fait le larron
Datte: 15/05/2024,
Catégories:
fh,
fffh,
hagé,
jeunes,
couleurs,
extracon,
cocus,
inconnu,
fépilée,
complexe,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fdanus,
portrait,
Auteur: Uglisse, Source: Revebebe
La fille se tenait debout, à l’entrée de la résidence étudiante, vêtue d’un justaucorps moulant bleu marine. Si l’on avait regardé sa poitrine ou son entrejambe, on aurait distingué, à travers le tissu, l’empreinte en relief de ses jeunes tétons ou celle, en creux, du sillon de sa chatte. Mais en fait, ce n’était pas ce qu’on regardait de prime abord. Son vêtement était percé de larges ouvertures ovales qui découvraient des pans de son épiderme, sur l’abdomen et les cuisses. Et c’est ce qui attirait l’œil, bien qu’on n’y vît rien de déshonnête, seulement de la peau très blanche !
La fille était brune, musclée, nerveuse. Elle fumait, en tapotant sa cigarette. À première vue, elle ne semblait pas commode. Ce n’était pas le genre à lui mettre la main au cul. De toute manière, Serge n’aurait pas osé, évidemment.
Serge était un petit homme dans la cinquantaine, timoré, marié à une femme de quinze ans sa cadette qu’il ne touchait plus. Non qu’elle fût laide, bien au contraire : c’était une pimpante secrétaire, peu farouche, aux appas généreux. Mais elle le trompait. Il en avait conçu une honte irraisonnée. Par un cercle vicieux que les sexologues connaissent bien, il n’était plus parvenu à satisfaire sa femme. Se lassant de l’humiliation d’assauts inutiles, il avait fini par renoncer.
Sa femme n’avait pas demandé le divorce ni même quitté le domicile conjugal, dont elle payait fidèlement la moitié du loyer. À mots voilés, elle signifia qu’elle utiliserait l’appartement ...
... pour le « repos de la guerrière », entre ses nuits de travail et les séminaires à La Baule qui, dès lors, se multiplièrent. Vivre en colocataire avec son mari cocu lui convenait… Serge l’avait accepté, comme une fatalité, se reprochant d’avoir épousé une fille « Too Much » pour lui…
Après la séparation de corps(elle dans le lit, lui sur le canapé du salon), sa femme se mit à collectionner la lingerie cochonne, les tenues affriolantes. Ses jupes, trop courtes, n’évitaient la vulgarité que d’un petit centimètre. Tout cela seyait parfaitement à la nature de cette blonde secrétaire, dont on vantait le savoir-faire et la compréhension innée des affaires délicates. En son absence, Serge aimait inspecter sa garde-robe. Il fouillait son linge sale, touchait, reniflait. Ses petites culottes usagées envahissaient littéralement la salle de bain. Serge les lisait à livre ouvert, fantasmant les heures supplémentaires que sa femme avait faites, ainsi que ses longs week-ends studieux, lesquels, avait-il remarqué, ne tombaient jamais pendant ses règles !
Serge n’avait pas de maîtresse. Un reportage à la télévision, consacré à la lutte contre la prostitution, lui avait fait envisager ce recours. Mais les « maisons » étaient fermées, les trottoirs devenus bien vides. L’activité avait migré sur des sites en ligne, disait-on. Or Serge ne comprenait rien à l’informatique.
Le hasard faisait qu’il habitait face à la résidence de l’université. Il voyait ainsi les étudiantes lui passer sous le ...