1. Le con-cierge de mon cœur


    Datte: 15/05/2024, Catégories: f, fh, forêt, campagne, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, pénétratio, yeuxbandés, délire, Humour Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... déverse en elle.
    
    — Dépêchez-vous, partez ! Je les connais, ils vont me poser une tonne de questions !
    
    Elle n’a que le temps de redescendre sa jupe que, déjà, je suis à la porte.
    
    — Par contre, le jour où Virginie n’est pas là, passez me voir… Il me tarde de savoir comment cela se passe quand vous prenez le temps…
    
    Tiens, voilà le genre de truc dont je tâcherai de m’en souvenir à l’occasion… Par contre, je jurerais qu’en bas de l’escalier, l’heure est à une engueulade et il me semble bien reconnaître la voix de l’un des trois protagonistes. Il ne me faut que quelques secondes pour comprendre ce dont il est question : notre inévitable ami Tronchopadock prétend interdire l’accès aux étages à un couple sous prétexte qu’ils ne se sont pas présentés à sa loge !
    
    Il s’est trompé d’époque, l’autre cloche ? Sans compter qu’à partir du moment où la dame est le parfait copié-collé de Lætitia avec tout juste une vingtaine d’années de plus au compteur, il n’y a pas trop de doutes à y avoir ! Mais pour le moment, les esprits s’échauffent… D’ailleurs, j’ai le sentiment que si notre charlot continue, il va y avoir de la mandale dans l’air… Mais comme l’autre buse est quand même plutôt du genre à aboyer de loin, il préfère baisser pavillon et filer la queue entre les jambes.
    
    Peut-on dire que là aussi, ce sera la première et la dernière fois qu’il viendra polluer l’espace vital des parents de Lætitia ? Rien n’est moins sûr, Tronchopadock est du genre à comprendre vite pourvu ...
    ... qu’on lui explique longtemps… Pendant ce temps, j’en profite pour me faufiler par l’autre porte pour ne pas être vu, exactement comme leur fille me l’a demandé.
    
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    Le lendemain en tout début d’après-midi, je m’apprête à passer au magasin lorsque le téléphone sonne. C’est madame Dugenou, l’une des voisines de Lætitia et cette dernière lui a parlé de mes talents de bricoleur alors qu’elle ne parvient pas à faire fonctionner correctement son téléviseur. Comme rien ne presse à la boutique et que de toute façon l’immeuble est sur ma route, je lui donne rendez-vous un quart d’heure plus tard.
    
    En fait de panne, il s’agit simplement d’une recherche de chaînes… Mais madame Dugenou a une excuse pour ne pas être à la page : elle a soixante-quinze ans, ce qui me permet d’affirmer accessoirement et sans trop de risque que je n’aurai pas droit à une gratification du même style que celle de Lætitia − et cela m’arrange bien, je ne vous le cache pas − ce qui ne lui empêche pas de m’offrir un thé.
    
    Je souris : par sa grande baie vitrée, l’on a une vue panoramique sur un appartement passablement délabré où l’on peut apercevoir, via les fenêtres aux rideaux déchirés d’un logement cradingue, notre cher concierge devant son écran tandis qu’il ne cesse de danser d’une fesse sur l’autre. D’une certaine manière, il a de la chance, le gaillard ! À la place du sel dont la brûlure s’estompe au fil du temps, il aurait tout aussi bien pu se prendre du blé qui a la particularité de ...
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