Le con-cierge de mon cœur
Datte: 15/05/2024,
Catégories:
f,
fh,
forêt,
campagne,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
pénétratio,
yeuxbandés,
délire,
Humour
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
— Regarde ! Regarde là-bas ! Je te dis qu’il y a quelqu’un !
Ce qu’il y a de bien dans la cuillère, c’est que tout comme la levrette ou le mariage − quoique, sur ce dernier point, il y a sujet à discussion − cela permet de regarder dans la même direction… Et là, j’ai beau chercher et chercher encore, je ne vois rien.
— T’es sûre ? Où ça ?
— Mais là-bas, à la cabane ! Il y a un volet d’ouvert !
Bigre, elle a décidément une bonne vue, Virginie… La cahute en question, il y a belle lurette que je n’y fais plus attention ! Elle appartient à un petit groupe d’ornithologues amateurs qui s’en servent essentiellement la nuit pour observer les rapaces et autres bestioles du voisinage. Seulement, elle est assurément à deux-cents mètres, alors, qu’est-ce que cela peut bien nous foutre ?
— T’imagines, s’il a des jumelles, il pourrait nous voir ! Non, faut qu’on arrête et qu’on s’en aille !
Virginie dans toute sa splendeur… Parce que le vrai gag, c’est qu’en même temps qu’elle parle de partir de peur d’être vue, elle vient de se cambrer encore un peu plus pour me permettre de m’enfoncer en elle encore un peu plus loin. Et comme elle vient d’écarter ses compas autant qu’elle le peut pour sans doute me faciliter la tâche, elle vient également d’offrir une vue imprenable sur mon dard qui coulisse tout au fond de sa si jolie petite chatte à l’éventuel observateur qui serait bien planqué là-bas, dans son observatoire de fortune…
Résultat, gugusse à jumelles ou pas, je ne ...
... vais pas m’arrêter en si bon chemin ! J’ai commencé tranquille, les mains en haut du guidon, mais quelque chose me dit que je ne vais pas tarder à placer mon attaque, histoire d’être bien sûr que ma jolie brune ne se retrouve pas seule au bord de la route. J’augmente alors doucement la cadence, Virginie, comme à son habitude, réagit au quart de tour, mais cela ne l’empêche pas de me baratiner sur cet éventuel voyeur.
— Non, je te dis qu’il faut qu’on s’en aille, c’est pas bien ! Arrête, s’il te plaît !
Tu parles ! Si elle voulait véritablement que tout s’arrête, il lui suffirait qu’un coup de reins pour se désemboîter de moi… Alors que c’est tout le contraire qui se passe : elle vient de se coller encore un peu plus à moi, histoire sans doute de gagner quelques précieux millimètres tout au fond de sa boite à ouvrages avec, en corollaire, une fusée qui ne doit plus être très loin du décollage. Pas manqué, une dernière accélération de ma part et vlan, la voilà partie dans la stratosphère… Et moi, sans doute par solidarité, je l’accompagne en déversant ce qui me semble des hectolitres de foutre tout au fond de son ventre.
Retour sur terre. Sans un mot, elle pique quelques mouchoirs en papier dans son sac, se relève et, toujours nue au beau milieu de ce champ de blé, la voilà qui fait quelques pas pour s’éloigner de moi. Je souris : à en juger par cette nuée de sauterelles qui s’envole au-devant d’elle, elle est en train de nous gratifier de l’un de ces petits pipis debout ...