1. Tel est pris


    Datte: 15/05/2024, Catégories: fh, jeunes, copains, hépilé, école, hsoumis, fdomine, Masturbation hdanus, hgode, init, initiat, sodo, Auteur: Victor Ward, Source: Revebebe

    ... retrouvai la tête enfoncée dans le matelas, les fesses en l’air. C’était un peu humiliant, mais j’étais surtout très excité. Mon gland était hyper sensible, même si personne ne le touchait. Tellement sensible que je tendis une nouvelle fois ma main pour me saisir de ma queue et me branler.
    
    — Apprends à apprécier le plaisir que je te donne, tu n’as pas besoin de ta bite pour ça.
    
    En disant cela, ses doigts se promenaient sur mon périnée, le caressant légèrement. Les sensations étaient folles et je ne pouvais m’empêcher de remuer les fesses. Je l’entendis rire, doucement. Elle insista et son massage devint plus marqué alors que les doigts de son autre main continuaient à me forer. D’ailleurs, ils me pénétraient désormais beaucoup plus vite et je ne sentais plus aucune gêne, ce n’était que du plaisir.
    
    Après avoir massé mon périnée, K se saisit de mes couilles et je sentis sa main me les compresser légèrement. Je ne pus retenir un long gémissement. Comme pour beaucoup d’hommes, c’est un point très sensible de mon anatomie. Physiquement, mais aussi psychiquement, la crainte de la douleur est gravée en moi. Je réagis au quart de tour dès que l’on me touche les testicules, même avec la plus grande douceur. Je resserrai donc les jambes et essayai de me défaire de son emprise, mais elle ne me lâcha pas.
    
    — Doucement, ne crains rien, je veux te faire du bien.
    
    Je me détendis un peu et essayai de me laisser aller à ses caresses. Elle me massait doucement les boules, les ...
    ... faisait rouler. Entre ses doigts, elle en prenait une, puis l’autre, les serrant doucement alternativement. Ses doigts dans mon fondement avaient cessé de me limer et se concentraient désormais sur ma prostate, la massant légèrement. J’étais en transe, je me tortillais de plaisir et j’étais pris de tremblements. Une chaleur montait en moi, partant de mon bas-ventre et remontant tout le long de ma queue. J’avais l’impression que mon gland allait exploser alors qu’il ne subissait aucune stimulation. Je soufflais et je gémissais, j’avais complètement perdu pied. Alors la main qui me tenait par les couilles remonta le long de ma hampe et me caressa le gland.
    
    — Hum, tu mouilles, me souffla-t-elle en se penchant vers mon oreille.
    
    Elle passa alors ses doigts devant mes yeux et je pus voir qu’ils étaient effectivement couverts d’un liquide gluant et transparent.
    
    — Tu aimes te faire doigter comme une petite cochonne.
    
    C’était plus une affirmation qu’une question et j’étais d’ailleurs incapable de répondre, car en prononçant ses mots, elle me fit sucer ses doigts et goûter à mon liquide séminal. Quand elle les retira, ils étaient cette fois recouverts de ma salive et elle s’en servit pour me branler. Très rapidement, je lui dis :
    
    — Je vais jouir, c’est trop bon.
    
    Elle cessa alors sa masturbation.
    
    — Pas question, je veux encore jouer avec toi.
    
    Elle s’éloigna alors et me laissa seul sur le lit, à quatre pattes, l’anus dilaté et la bite dure et dégoulinante. Frustré, ...
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