Tel est pris - Histoires de Sexe

Tel est pris

... main passa dans celle-là. C’était bon, mais assez perturbant. Pas totalement nouveau non plus, je m’attendais à ce que K me pénètre à nouveau avec ses doigts. La première fois avait été une surprise et une découverte, pas franchement désagréable, mais je gardais un certain blocage. Si ça ne tenait qu’à moi, je ne réitérerais pas l’expérience. Un de ses doigts commença à agacer mon anus.

— Détends-toi, me souffla-t-elle. On sait tous les deux que tu aimes ça, laisse-toi faire.

Elle n’avait pas tort. Elle imbiba son doigt de salive et commença à forcer un peu. La pulpe de son doigt faisait de petits allers-retours et je commençais à céder.

— C’est bien, laisse-moi rentrer.

Je sentis son doigt s’enfoncer. Elle attendit un instant puis le retira avant de me pénétrer à nouveau. Cette fois, j’étais plus détendu et elle put l’introduire sans difficulté. Elle commença alors quelques lents va-et-vient. Je commençais à prendre beaucoup de plaisir et je gémissais. Je tendis ma main pour saisir ma queue, mais elle m’en empêcha.

— Laisse, je m’occupe de toi, dit-elle en prenant doucement mes testicules dans sa main.

Elle synchronisait ses gestes, une main me pénétrant, l’autre me massant les couilles. Je me sentais délicieusement excité, avec une très forte érection.

Elle tournait son doigt en moi et mon anus se dilatait progressivement.

— Bien, tu t’ouvres, ça te plaît ?
— Mmh oui, murmurai-je.
— Ne sois pas timide, je vois bien que tu aimes que je te doigte, ...

... tu bandes très fort.

En disant cela, elle saisit ma queue et me branla doucement.

— Tu es prêt pour un deuxième doigt, je crois, dit-elle doucement.

Comme je ne répondais pas, elle insista en se penchant vers mon oreille :

— Tu aimerais que je te mette un deuxième doigt ?
— Oui, vas-y.
— Dis-le-moi plus clairement.
— Mets-moi un deuxième doigt.
— Où ?
— Mets-moi un deuxième doigt dans le cul.
— Voilà, j’ai compris, dit-elle en essayant d’insérer un second doigt.

Ça faisait mal et j’eus un geste de recul.

— Oh, ça fait mal ?
— Oui, un peu.
— Attends, ne bouge surtout pas.

Elle s’éloigna un peu et fouilla dans une armoire. Elle revint avec ce qui devait être du lubrifiant, car je sentis ses doigts gras et froids se poser à nouveau sur ma rondelle. Une légère poussée et elle put les rentrer facilement.

— Voilà, comme ça c’est mieux. Tu me sens bien ?
— Oui, mais c’est gros.
— Ça va, tu vas t’habituer, je vais y aller doucement, dit-elle en enfonçant ses doigts un peu plus loin.

Ses doigts restèrent quelques secondes au fond de moi avant de se retirer doucement. Elle les laissa cependant en moi et les enfonça à nouveau. Pendant près d’une minute, elle poursuivit ses va-et-vient puis commença à tourner doucement ses doigts alors qu’elle les enfonçait. Je les sentais vriller en moi alors que je me dilatais de plus en plus.

— C’est bien, tu t’ouvres. Cambre-toi, donne-moi ton cul.

En disant cela, elle appuya d’une main sur mes épaules. Je me ...