De Maître à Esclave Ch. 04
Datte: 12/05/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... serre en me tenant fermement. Je hurle de surprise et de douleur, tétanisé.
« C'est cela ta maladie? Son regard est noir, je vacille, elle met une tension vers le bas et je suis obligé de suivre et de me retrouver à genoux à côté d'elle. Je ne sais pas quoi dire, la douleur est atroce, mes couilles sont si sensibles.
Tu n'as rien à dire? Tu reviens avec une cage de chasteté et je ne sais quoi d'autre et tu n'as rien à dire? Et dans ton petit sac que vais-je découvrir? Je baisse la tête, humilié par ma propre soumise.
- Ce n'est pas ce que tu crois...
- Au contraire je suis certaine que c'est ce que je crois. Putain! Tu parles d'un Maître. Tu es une petite lopette qui est allée se faire taper dessus. Et tu penses revenir et que je vais être bien obéissante? Alors tu es une petite pédale soumise? Isabelle est hors d'elle, la rage qui l'habite depuis des jours et des jours la rend violente et terrifiante, elle est enfin en face de moi à pouvoir exprimer tout son mépris
- Attends, pitié s'il te plaît, je vais tout te dire, mais lâche-moi »
Isabelle, curieuse, relâche son étreinte. M'ordonne de me déshabiller, ce que je fais dans une honte indicible. Son ton ne mérite pas discussion et je n'ai qu'une idée c'est l'apaiser. Qu'elle découvre mon sexe encagé et blessé par les pointes de discipline, mon cul fermé, et surtout toutes les marques et trainées de sang me rend rouge et m'humilie pire que jamais. Inconscient mon sexe tente, en vain de se redresser. Pas ...
... de doute l'humiliation extrême m'excite. Je me fais encore plus honte.
Elle ne dit pas un mot, renforçant mon malaise. Je croise son regard méprisant, je baisse les yeux. Ma confiance au réveil n'est plus qu'un lointain souvenir. Le seul avantage de la situation c'est que ma tortionnaire ne peut plus me dévoiler à Isabelle puisque c'est fait. Elle me dit qu'elle veut tout savoir et depuis le début, et qu'elle saura si je lui mens et me le fera payer cher. Elle reprend dans ses mains mes couilles, je n'ose me défendre, et je tremble de peur. J'ai déjà tellement mal. Mes couilles naturellement grosses, sont maintenant gonflées comme des baudruches et ont une teinte noire des plus inquiétantes. Je ne compte plus avoir de progéniture, mais cela ne manque pas de m'inquiéter quand même.
De toute façon je suis bien trop mal pour réfléchir à un quelconque mensonge et comme elle le dit souvent, la vérité est bien plus simple à dire. Aussi je dis tout, me rendant compte progressivement de ma folie, que ce soit ma carte d'identité, mais surtout mes comptes. Isabelle me fait répéter cela, incrédule que j'ai pu aller aussi loin, méprisante que je nous ai mis en danger ainsi tous les deux. Sa main serre toujours mes couilles et je sens quand certaines parties lui plaisent moins, la tension devient insupportable, je me concentre sur ma respiration. Je suis bien obligé de lui dire que je ne connais pas la femme qui m'a maltraité, ce qui me rend vraiment stupide à ses yeux.
Elle me ...