1. De Maître à Esclave Ch. 04


    Datte: 12/05/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... un taxi avec ce que j'avais entre les fesses, je marchais jusqu'à la maison, en ayant récupéré la cagoule pour ne pas la laisser traîner dans la chambre. J'avais remarqué que mon inconnue de la nuit avait tout embarqué. Pas de message téléphonique non plus d'elle qui n'ignorait pas que mes mails étaient inaccessibles, peut-être qu'elle était dans le même état, épuisée et vidée, et était d'accord pour mettre un stop. Mon état apaisé au réveil s'était nettement détérioré, je ne savais plus quoi penser.
    
    Le temps de faire le chemin de retour et je n'étais plus si certain de moi. Ni d'être prêt à ce que cette soirée soit dévoilée à Isabelle ou d'autres personnes, ni finalement d'être prêt à renoncer à ce que j'avais pu entrevoir. L'excitation n'avait finalement pas été aboutie, j'avais à nouveau une envie de jouissance folle et je me sentais prêt à tout. La fatigue aidant, mon érection était continue, douloureuse avec les pointes de discipline, me gênant pour marcher. Je craignais que mon sexe saigne à être ainsi martyrisé dans sa cage. Pourtant rien que cette image m'excitait, j'étais complètement dingue!
    
    J'arrivais à la maison dans une totale incertitude et une interrogation grandissante quant à mon cul cadenassé : j'étais de moins en moins certain de pouvoir m'en sortir seul et je n'avais aucun plan en tête. Isabelle descendit l'escalier pour venir à ma rencontre. Elle était sublime et ce n'était pas mon état d'épuisement qui me trompait. Sa jupe en cuir lui arrivait ...
    ... au-dessus du genou tandis que ses bottes noires à talons aiguilles métalliques magnifiaient ses jambes gainées de noir. Je me fis la réflexion qu'il faisait assez chaud pour ne pas en porter, mais que c'était ainsi magnifique. Elle portait un simple pull à même la peau, sans soutien-gorge, moulant étroitement sa maintenant grosse poitrine, et je devinais aisément ses tétons qui pointaient toujours facilement. Son visage était indéchiffrable, calme, je la trouvais sublime et le lui dit. Le compliment sonna dans le vide.
    
    « Alors où étais-tu? C'est quoi cette idée de partir sur un coup de tête? Elle s'assit dans notre canapé blanc et je posais délicatement une fesse sur le fauteuil en face terrorisé à l'idée de m'estropier.
    
    - Ecoute n'en parlons plus, j'étais énervé, j'avais besoin d'air.
    
    - Cela fait longtemps que je ne te sens plus, tu as rencontré quelqu'un?
    
    - Mais non ma chérie, bien-sur que non. Tout va bien, je t'aime plus que tout
    
    - Alors pourquoi tu ne me dis pas la vérité?
    
    - Il n'y a rien à dire, c'est pour cela. Tu veux bien qu'on ne s'engueule pas? Je me sens malade, je crois que je vais aller me coucher.
    
    - Oui tu as une mine affreuse »
    
    Je regarde Isabelle, elle a l'air furieuse. Où est donc le moineau que j'ai accueilli initialement? Ce n'est vraiment pas le moment de me prendre la tête. Je me lève et passe à côté d'elle pour monter dans notre chambre, quand, d'un mouvement rapide, elle agrippe mes couilles au travers de mn pantalon en toile, les ...
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