1. Joëlle, une amie de la famille


    Datte: 13/07/2019, Catégories: fh, fagée, boitenuit, revede, nopéné, confession, Auteur: Thierry300, Source: Revebebe

    ... comment pourrait-il en être autrement ? Elle n’est veuve que depuis quelques mois.
    
    Après dix minutes de voiture, je me gare devant un piano-bar – juste ce que j’aime, en fait – un endroit calme, avec peu de monde et de la musique douce.
    
    Je commande une bouteille de champagne.
    
    — Mais tu es fou, me dit-elle en riant.
    — Oui, c’est vrai, ça fait beaucoup ; mais bon, si on ne la finit pas, ce n’est pas grave non plus.
    
    Après une coupe, sans réfléchir, je lui demande si elle veut danser et, sans attendre sa réponse, je me lève et lui prends la main pour aller sur la petite piste de danse.
    
    Pendant les deux premières danses, je n’arrête pas de lui raconter des blagues, elle rit aux éclats. Cette complicité a le don d’intriguer les personnes présentes dans l’établissement et en riant, je glisse à l’oreille de Joëlle :
    
    — Dis, si on les rendait jaloux ?
    — Que veux-tu dire ?
    — Ben, c’est simple, on va faire comme si on était un couple. Je suis sûr que ça va en énerver plus d’un, de voir une femme mûre avec un jeunot.
    — Ohhhh ! Toi alors… Bon, je veux bien, mais je n’ai plus l’habitude de faire des gamineries, je te laisse faire.
    
    Je souris… et je commence à parler doucement mais suffisamment fort pour que ceux assis au bar entendent.
    
    — Oh chérie, tu es en beauté ce soir, tu as mis la lingerie que je t’ai offerte ?
    
    Elle me fait un sourire et part dans le délire :
    
    — Oui, j’ai mis le bel ensemble noir en dentelle.
    — Humm, tu vas être à croquer ce ...
    ... soir.
    
    Rires. Et en disant ça, je lui frôle le dos, et je lui fais un bisou dans le cou.
    
    — T’exagères, dit-elle.
    — Mais non, ce n’est pas méchant.
    
    Non, ce n’est pas méchant mais, mine de rien, cette situation commence à m’exciter et ce qui devait arriver arrive sous la forme d’une grosse érection.
    
    Un nouveau slow venant de débuter, il est impossible de retourner à table sous peine de casser le délire. Enlacés comme des amants, je sens le trouble de Joëlle.
    
    L’alcool aidant, je continue à délirer.
    
    — Ce soir, je vais te faire l’amour comme jamais.
    
    Je lui passe la main sur la fesse, j’ondule contre elle, la frôlant avec mon désir.
    
    À ma grande surprise, elle ne se dégage pas. Je pense que, pour elle aussi qui n’a pas l’habitude de boire, l’alcool ne doit pas y être étranger.
    
    Après cette série de danses, nous retournons à notre table et je lui demande de venir s’asseoir sur mes genoux. Je dois dire que les mecs du bar n’en perdent pas une miette.
    
    Je lui frôle le ventre… montant doucement jusque sous ses seins et redescendant lentement, tout en lui parlant. Ma queue est en feu et elle roule ses fesses dessus.
    
    Je l’embrasse doucement dans le cou et dans le creux de l’oreille.
    
    — Tu as vu, notre stratagème marche bien, ils y croient. Me laissant ainsi une porte de sortie au cas où elle se fâche.
    — Oui c’est marrant, dit elle, il y a longtemps que je n’ai pas autant rigolé. Crois-moi.
    
    Pour toute réponse, je lui fais un baiser très tendre dans le cou en ...