1. En permission


    Datte: 12/05/2024, Catégories: fh, ff, hh, 2couples, frousses, couplus, extracon, cocus, Collègues / Travail danser, odeurs, caresses, Oral 69, hdanus, hsodo, échange, init, Humour libercoup, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... cette nuit, selon ton désir, c’est la nuit des amants et pas des époux, et demain, tout redeviendra normal jusqu’au départ… En attendant, mets un peu de musique, j’ai envie de danser et je pense que vous aussi.
    
    Connaissant sur le bout du doigt les envies de son épouse, il enclenche avec un paso doble suivi d’un flamenco. Il laisse Jéromir se débrouiller avec sa femme, lui n’étant pas fan de ces danses d’origine hispanique. Il préfère de loin les bals musettes. Ce qu’il ne sait pas, c’est que Jéromir est un passionné de musique latino et espagnole. Il relève le défi et il s’ensuit une série de figures époustouflantes.
    
    — Tu ne m’avais pas dit que ton mari est un vrai danseur latino-américain. C’est tout un spectacle de le voir.
    — Il ne m’avait pas fait part de ses capacités. J’en suis estomaquée. Moi par contre, je ne suis pas très à l’aise avec. Le slow me convient beaucoup mieux.
    — En attendant, on admire, c’est vraiment un spectacle à voir. Viens près de moi, que l’on flirte un peu puisque pour la danse, on est un peu hors circuit.
    
    Mais un spectacle de haute intensité, cela fatigue, et bientôt, les héros sont fatigués et réclament un slow pour reprendre haleine.
    
    — Un slow, cela nous va bien.
    
    On voit les deux couples s’étreindre tendrement au son de la musique jusqu’à ce que Clothile propose de retourner aux paires officielles.
    
    — Pourquoi pas ?
    
    Sitôt les couples reformés, Clothile ne peut s’empêcher de questionner son mari.
    
    — Tu ne m’as jamais dit ...
    ... que tu dansais comme un professionnel.
    — C’était avant que je te connaisse. J’étais chevalier servant dans les cours de danse d’un ami.
    — Et dire que tu ne m’en as jamais fait profiter. Enfin, c’est pas grave, vu que ces danses, je n’y connais rien.
    — Je t’apprendrai lors de la prochaine perm. Cela prend un peu de temps et pour cette permission, j’aimerais plutôt me consacrer à d’autres activités avec toi.
    — Ça joue.
    
    Je n’approfondis pas la nuit qui ressemble comme deux gouttes d’eau à la précédente, si ce n’est que Clothilde et Jean-Louis s’en sont donné à cœur joie.
    
    Sur le matin, Clotilde et Jean-Louis se levent bien avant l’autre couple et ils se déplacent discrètement vers leur chambre. Ils reposent les deux, encore endormis, dans la chambre où flotte une odeur de stupre prononcée. Ils n’ont pas enfilé des perles pendant la nuit, ce qui peut expliquer le profond sommeil qui se maintient malgré leur présence.
    
    Clothilde grimpe sur le lit et prend dans sa bouche la bite de son mari au repos et commence à la sucer délicatement, l’odeur capiteuse d’Agnès augmentant son plaisir. C’est beaucoup plus agréable que Lina. Rapidement, la tige se durcit, entraînant un commentaire :
    
    — Agnès, tu es insatiable ! C’est bon… continue !
    
    Interrompant sa fellation, elle présente sa moule à son chéri et attend son commentaire.
    
    — Pourquoi tu arrêtes, mais ce n’est pas Agnès ? C’est Clothilde, qu’est-ce que tu fais ici ?
    — Je récupère mon bien pour la permission. Tu es fâché ...