Lui oui, elle non… - Histoires de Sexe

Lui oui, elle non…

... honore toujours sa femme. Carrément un taureau en rut, ce type ! Un bandard fou !
— Ah bon ?
— Oh oui ! Sitôt dans notre chambre, il s’est carrément jeté sur moi, c’est tout juste s’il n’a pas arraché mes vêtements. Je lui ai fait immédiatement une petite fellation pour faire baisser sa tension, il a d’ailleurs éjaculé tout de suite dans ma bouche.

Je m’assieds près d’elle :

— Ça a été rapide !
— Sa rebandaison aussi ! Jamais vu un type recharger si vite ses batteries ! Résultat, on a fait un soixante-neuf. Puis on a fait l’amour à la missionnaire, j’ai joui très vite.
— À la missionnaire ? Ce n’est pas ce que j’ai vu !

Valérie s’allonge sur le côté :

— Attends, c’était juste l’entrée, mon chéri. Ensuite, je me suis mise à quatre pattes, pensant faire une levrette, ce qu’il a fait… au début…
— Au début ?
— Au début, car ensuite, ce saligaud, il est sorti de ma chatte et il m’a défoncé la rondelle !
— Paf, comme ça !?

Elle tapote sur ses fesses :

— Oui, paf, comme ça, il m’a enculée, et pas qu’une fois !
— Et tu l’as laissé faire ?
— Ben… il m’a tellement prise par surprise que…

C’est bien l’une des premières fois que je vois rougir ma femme qui n’arrive plus à raconter la suite, alors qu’elle sait être fort salace ! Tout en la caressant, je réponds :

— Oui… oui… oui… Et tu n’as pas détesté, c’est ça ?
— Ce… c’est pas faux… Je ne déteste pas me faire brusquer de temps en temps…

Elle soupire longuement :

— Et tu crois que ça l’aurait ...

... calmé ? Tu parles ! Je dirais que ça l’a excité encore plus. Il m’a tronchée, en long, en large, en travers ! Une bande de bonshommes hétéros coincés durant dix ans sur une île déserte sans femme auraient fini la chose plus rapidement ! Ce Ji-Cé, c’est plus un homme, c’est une machine, une sex-machine, un pistonneur fou !

Sans répondre, prestement, je retourne ma femme sur le ventre, puis je me vautre illico sur elle, sur ses fesses. Assez surprise, ma femme proteste faiblement :

— Tu… tu fais quoi, là ?
— La même chose que Jean-Claude…
— Tu… tu veux m’enculer !?
— Bien sûr que oui ! En long, en large, en travers !

Puis je me frotte sur ses fesses, faisant coulisser ma verge dans son sillon. Ma femme ne proteste pas, je crois même que la situation l’amuse. Je lui confie :

— Je te confirme que ton amant y a été de bon cœur ! Ton petit trou suinte de sperme ! Il est tout luisant !
— Ooh, t’as pas honte de dire ça ?

Je pense fugacement que c’est l’hôpital qui se fout de la charité :

— Non, ça m’arrange, je vais pouvoir t’enculer sans utiliser de lubrifiant !
— Rhoo ! T’es un gros porc !

Je me soulève un peu, je dirige la pointe de ma tige vers l’endroit convoité, et c’est avec une grande facilité que je m’enfouis d’une seule traite dans ses sombres profondeurs gluantes !

— Oooh ! gémit ma femme, sans s’opposer toutefois à mon invasion en elle. Je confirme :
— C’est bien ce que je pensais, ça glisse tout seul… Un tunnel bien élargi !
— T’es pas obligé ...