1. Lui oui, elle non…


    Datte: 12/05/2024, Catégories: fh, couple, couplus, vacances, Oral pénétratio, fsodo, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... mais je n’en ai pas à portée, ils sont dans notre chambre, dans laquelle se déroule une certaine bataille qui doit être mouvementée, connaissant ma femme et Ji-Cé…
    
    Je fais jouir Gaëlle plusieurs fois, dont l’une en frottant ma verge bien dure le long de ses lèvres intimes. Au début, ma partenaire est un peu soucieuse, crispée, craignant que je la pénètre. Mais comme elle comprend que je respecterai le pacte, elle se détend.
    
    Après sa jouissance, elle murmure à mon adresse :
    
    — Toi, au moins, on peut te faire confiance…
    — Merci de le reconnaître.
    — Je ne sais pas d’où tu tiens ton self-control, mais t’es bien le seul homme que je connaisse qui soit comme ça !
    — Tu n’as pas fréquenté assez d’hommes pour en avoir un bon éventail.
    
    Elle sourit étrangement :
    
    — Détrompe-toi. Je n’étais plus une oie blanche depuis longtemps quand j’ai rencontré Jean-Claude. De plus, mon mari ne m’a pas appris grand-chose. Mais peut-être que je n’ai pas croisé les bons spécimens.
    — Peut-être…
    
    Je serais curieux de savoir ce qu’elle connaissait des hommes et de leurs turpitudes avant de croiser son mari. Je le saurais peut-être un jour. Ses yeux luisent :
    
    — Oui, dommage que Valérie soit passée avant moi…
    
    Alors que j’allais répondre, elle me coupe en proposant :
    
    — Bon, et si on allait en haut s’allonger un peu, je commence à fatiguer.
    
    Nous montons vers l’étage, direction la chambre d’amis où dorment depuis quelques jours nos invités. La salle de bain délimite deux zones : ...
    ... celle des adultes et celle des enfants. C’est le bureau qui fait séparation entre la chambre des amis et notre chambre (celle de notre couple). Cette disposition évite que les enfants entendent diverses turpitudes, comme ça a pu arriver chez certaines de nos connaissances…
    
    De plus, notre chambre est bien insonorisée. Il faut bien ça, car ma femme est assez démonstrative vocalement !
    
    Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre, elle dans mes bras. Gaëlle se laisse aller. Tandis que je la caresse délicatement, je l’entends respirer profondément. Soudain, sa voix brise le silence :
    
    — Je suis bien, là comme ça… Dommage que mon andouille de mari ne soit intéressé que par la performance !
    — Fais donc son éducation…
    — Tu parles ! Pour lui, c’est une perte de temps…
    
    Je la serre un peu plus contre moi. J’aime sentir son corps tout chaud contre le mien :
    
    — Dans ce cas, profite…
    — C’est ce que je fais…
    
    Nous restons immobiles durant un long moment. Je me demande même si Gaëlle ne s’est pas endormie. Elle est lovée contre moi, la respiration apaisée. En fin d’après-midi, je n’aurais jamais pensé qu’elle et moi allions faire des galipettes. Finalement, ma femme avait raison, Gaëlle était demandeuse à mon propos. Contrairement à la plupart des hommes, les femmes sentent ce genre de chose…
    
    Soudain, Gaëlle frémit, puis s’échappant de mes bras, elle se relève lentement :
    
    — C’est pas que je ne suis pas bien avec toi, mais faut que je fasse un brin de toilette…
    — Pas ...
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