1. De mari à ce cocu soumis


    Datte: 10/05/2024, Catégories: soumission, Candaulism, cocu, humiliatio, Auteur: Patrice13, Source: Revebebe

    ... ne rien dire avait été ma troisième erreur.
    
    Mais encore aurait il fallut que je sache ce qui allait arriver par la suite. Pourtant, elle avait un peu raison, je la négligeais beaucoup, mon travail m’accaparant énormément.
    
    Vingt heures était vite arrivé et c’était avec des chaussures avec un petit talon qu’Anouck s’était empressé d’aller ouvrir la porte au premier coup de sonnette. Les deux couples étaient entrés, les femmes belles mais dans la moyenne ainsi que les hommes, mais par la suite, en guise d’enfant c’est un Appolon qui a franchi le seuil de notre porte. Un athlète de presque 2 mètres environ, entièrement vêtu de blanc, des cheveux mi-longs, blanc eux aussi ainsi qu’une barbe bien taillée de la même couleur. Une beauté.
    
    Connaissant le petit faible d’Anouck pour les hommes barbus, une pointe de jalousie m’avait envahi. Bien que du même âge que nous, sa pilosité était d’un blanc étincelant. Comme explication Anouck me dit qu’il était souvent avec ses amis et elle n’avait pu faire autrement que de l’inviter.
    
    Un petit sourire de ma part a été ma énième erreur.
    
    Les présentations faites, nous nous sommes installés au salon, les couples et Anouck sur les deux canapés. Mike, puisque c’était son prénom, à côté de moi sur deux fauteuils différents, face à eux. Ce soir-là, Anouck avait beaucoup bu, et l’alcool aidant parlait et se trémoussant énormément face à nous… Souvent ses jambes se séparaient nous laissant entrevoir son petit triangle rouge. Elle ne ...
    ... semblait pas le faire exprès.
    
    Du moins, je le croyais !
    
    Jusqu’au moment où avant de passer à table, Anouck propose une troisième tournée d’apéritifs.
    
    Ayant des mots à lui dire, je me propose de l’aider dans la cuisine.
    
    — Tu te comportes comme une pucelle en chaleur face à Mike, avais-je chuchoté pour que les invités ne puissent pas entendre.
    
    Vexée et avec un regard noir, ma femme m’avait répondu :
    
    — Arrête de faire ton jaloux, c’est juste un ami.
    — Oui, un drôle d’ami qui n’a des yeux que pour tes cuisses. Tu te comportes comme une salope.
    
    Je reconnais avoir été fort, et c’est, furieuse, ses yeux dans les miens que je l’ai vue remonter sa jupe, retirer son string et le jeter avec rage dans la poubelle.
    
    — Salope pour salope, autant l’être jusqu’au bout !
    
    Elle finissait de se réajuster quand la tête de Mike apparu par la porte de notre cuisine.
    
    — Besoin d’un coup de main ? a-t-il fait avec un sourire ironique.
    — Non, nous arrivons.
    
    Nous étions revenus à nos places respectives et mon Anouck était plus volubile que jamais et par deux fois ses cuisses s’étaient entrouvertes laissant cette fois apparaître sa chatte imberbe aux yeux de Mike.
    
    Cette fois j’en étais convaincu, elle l’avait fait exprès. Puis nous sommes passés à table pour un repas excellent et qui s’est très bien déroulé. Dans une bonne ambiance. Le dessert pris, nous nous sommes installés de nouveau au salon prendre le digestif. Avant cela, Anouck m’avait demandé de mettre un peu de ...