1. De mari à ce cocu soumis


    Datte: 10/05/2024, Catégories: soumission, Candaulism, cocu, humiliatio, Auteur: Patrice13, Source: Revebebe

    Seize heures je suis à mon agence devant mon bureau, travaillant un dossier d’un de mes clients, quand mon portable émet une sonnerie m’indiquant un messageWhatsApp. Ayant quelques soucis avec mon épouse, Anouck, en ce moment, je m’empresse d’y répondre en espérant que cela soit bien elle.
    
    J’allume mon portable, mais ma déception est grande quand je vois le numéro de l’amant de ma femme.
    
    Eh oui, son numéro est enregistré sur mon portable.
    
    Ce n’est pas un message, mais une photo. Je clique sur la photo, et stupéfait, je me vois dans ma chambre, sur mon lit, nu comme un ver, ma bite dans une main en train de me masturber. Une bite pas bien grosse, vu qu’une faible partie dépasse de ma main qui entoure sa hampe.
    
    Je me pose la question de savoir ce qu’elle fait en sa possession, sachant que c’est ma femme qui avait pris cette photo avec mon consentement. Je n’ai pas le temps de me poser d’autres questions, quand une seconde photo apparaît. De nouveau je clique dessus et tremblant je vois presque la même photo, sauf que cette fois ci ma tête toujours posée sur le lit, mais mon visage apaisé, tourné vers l’objectif. Mon sexe redevenu mou, repose sur mon pubis tandis que des traînées de sperme maculent celui-ci et mon ventre.
    
    Je me sens presque défaillir quand un message s’affiche :
    
    — Tite bite, tu ne voudrais pas que ces photos atterrissent sur la messagerie mail de ta société ?
    
    Je lui réponds :
    
    — Non, stp, arrête tes conneries, Mike.
    — Alors dépêche-toi ...
    ... de rentrer chez toi, nous avons à discuter.
    — Ok, ce soir à dix-neuf heures devant un verre.
    — Connard, je suis déjà chez toi.
    
    Et là, il coupe sa messagerie.
    
    Tite bite était sa façon de m’appeler depuis quinze jours !
    
    Aussitôt, j’appelle Anouck, pour lui demander des explications. Elle répond à la première sonnerie.
    
    — Quoi ? me fait-elle avec une drôle de voix.
    — Que fait Mike à la maison et c’est quoi ces photos sur mon portable ?
    — Dépêche-toi de rentrer il faut que l’on discute ce soir, répond-elle toujours avec la même voix prise.
    
    J’entends également derrière, en fond sonore Mike lui dire de raccrocher au plus vite car il ne va pas tarder à jouir.
    
    Un gros râle, de sa part et la conversation, elle aussi se coupe brutalement. Cette salope est en train de le sucer en même temps.
    
    Les larmes aux yeux je pose mon téléphone. Je n’ai plus aucun goût pour travailler et je repasse dans ma tête, comment nous en étions arrivés là, mon Anouck et moi-même.
    
    Mes pensées remontent vingt ans en arrière, époque où en boîte de nuit, à Montpellier, nous nous sommes rencontrés.
    
    Elle, Anouck vingt-cinq ans, splendide femme d’un mètre soixante-dix aux cheveux châtains foncés, des yeux légèrement portés sur le vert, mais surtout des seins et un cul magnifique.
    
    Des seins ronds et fermes, des fesses superbement cambrées. Un visage resplendissant, avec toujours le sourire aux lèvres.
    
    Moi, Patrice, vingt-huit ans, un mètre quatre-vingt-un, mince mais au visage ...
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