Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... c’est la déception qui le pousse. Ce qui n’est que très partiellement vrai.
Les Sullivan, les fermiers qui l’ont recueilli ont une fille Solveig. Son charme n’a pas laissé insensible le garçon et la réciproque est vraie. Mais son engagement avec Trevina l’a empêché de pousser plus avant. Ce n’était pourtant pas l’envie qui lui en manquait. Libéré de celui-ci, il s’empresse d’aller retrouver celle qui lui plaît tant, de demander sa main, et si Dieu le veut, la ramener au pays.
En apprenant que les parents de la jeune personne étaient à la tête d’une famille nombreuse et de plus pauvre, ce qui laissait entrevoir une dot fort mince s’il y en avait une, Elliot, son père, avait commencé par lui refuser son consentement. Son fils avait réussi à le faire changer d’avis en lui disant :
— Ils m’ont recueilli, soigné, nourri, en partageant ce qu’ils avaient. Ils ont pris de grand risque, à la merci d’une dénonciation. Ils m’ont sauvé. N’est-ce déjà pas un beau cadeau ?
Son père finit par en convenir. Deux jours après le départ de son fils, il décide de le rejoindre. On pense qu’il part à la recherche d’Ardghal. Comme il est à cheval et son héritier à pied, il met peu de temps à le rattraper.
Le retour d’Ardghal, accompagné de son père, surprend la famille Sullivan. Ils font leur demande. Solveig éclate en sanglots. Son père explique :
— Nous sommes très honorés, mais hors son trousseau, ma fille ne peut apporter grande dot.
Elliot, reprenant les arguments de son ...
... fils, répond :
— Votre famille nous a déjà fait à ma femme et à moi, le plus magnifique des présents en sauvant la vie de notre fils. Que sont quelques écus en regard de cela ? Surtout que visiblement ces enfants s’apprécient beaucoup.
Le mariage est rapidement conclu, Monsieur Doherty ne voulant pas être absent trop longtemps de ses terres. Les mariés sont visiblement si heureux, que la fête, fort modeste au demeurant, en est éclairée.
Le lendemain, les jeunes mariés sont souriants et épanouis.
Il faut dire que la nuit de noces s’est passée au mieux. Elle a été des plus plaisantes. Arrivée dans la chambre qui leur a été attribuée pour l’occasion, la mariée, aidée de sa mère, quitte sa robe, fait quelques ablutions et passe sa chemise de nuit. Il fait de même dans un cabinet voisin. Comme elle va pour serrer le laçage du vêtement, sa mère l’en dissuade en lui disant qu’il vaut mieux laissé lâche et que de toute manière il sera défait.
Elle ne peut s’empêcher d’avoir une certaine appréhension. Comment va se passer cette nuit de noces ? Va-t-elle avoir mal ? Sa sœur aînée lui a fait un récit rebutant du devoir conjugal, mais des amies se sont montrées moins sévères. Certaines trouvant cela plutôt plaisant, même si la première fois peut ne pas être facile. Son mari sera-t-il satisfait, ou va-t-elle le décevoir ? Elle reste un peu figée.
Ardghal se rend compte de son appréhension. Il ne veut la brusquer et lui parle doucement, lui disant combien il l’aime, la ...