Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... Les parents se rendent à une foire au bourg voisin. Les événements avaient empêché sa tenue. Ils ne veulent pas la rater, ainsi qu’une bonne partie du village. Les futurs ont au moins toute la matinée devant eux. Ils se retrouvent à la ferme des Finnagan. Ils peuvent se bécoter à loisir. La belle se dévêt et se met à quatre pattes, aussitôt saisie par les hanches, son con incontinent est investi sans difficulté, tant elle est épanouie et humide. Elle manifeste son contentement peu discrètement avant qu’il ne se vide. Illico, elle se retourne pour lui redonner une raideur de bon aloi par une fellation ardente.
Cette fois, elle s’allonge. Il la pénètre à nouveau. Elle s’accroche à lui. Il la travaille longuement, à leur vif contentement. Ils prennent à nouveau leur plaisir. L’heure tournant, ils préfèrent ne pas poursuivre et vont faire quelques ablutions. Pour la première fois depuis son retour, il la voit nue et de jour qui plus est. Il la regarde, étonné.
— Tes seins ont grossi.
— Heu… Oui, c’est vrai. Un peu.
— Et ton ventre aussi ! Mais Tabernacle ! Tu es enceinte.
— Moi, enceinte ? Ce n’est pas possible ! J’ai eu mes règles, il y a…
Elle s’arrête au milieu de sa phrase, réalisant soudain que cela faisait presque deux mois qu’elles n’étaient pas survenues. Il insiste :
— Tu es enceinte ?? Depuis combien de temps ?
— Je… Je ne sais pas !
— Une chose est sûre, cela ne fait pas sept mois et cela fait plus de trois semaines. Que faut-il en conclure ?
— Que… ...
... Que… Que…
— Que… Que… Que… C’est tout ce que tu trouves à dire. Moi, je vais le dire : que le polichinelle que tu as dans le tiroir n’est pas de moi. Qu’à peine suis-je parti défendre l’Érinlande et combattre ces cochons de Glaisans, ma chère fiancée s’empresse de se précipiter dans les bras d’un autre, si ce n’est de plusieurs.
— Non ! Tu es resté si longtemps sans donner de nouvelles, alors que les autres en donnaient. On croyait que tu étais mort.
— Cela ne t’a visiblement pas perturbée outre mesure. Tu cherches aussitôt un remplaçant, sans même être sûre. Ce qui est sûr en revanche, c’est que je n’épouse pas une fille enceinte d’un autre. Arrange-toi avec celui qui t’a mise en cet état.
— Non ! S’il te plaît. J’ai rompu avec lui dès que j’ai appris que tu étais vivant.
— Ben voyons ! Le brave garçon. Le bon parti. Je me réjouissais de t’avoir pour femme, mais je n’ai aucunement l’intention d’élever un coucou chez moi.
Il s’habille rapidement, ignorant les larmes et les supplications de Trevina. Elle tente de le retenir. Il se dégage en douceur et sort. Elle reste dans un état de semi-torpeur. Elle finit par se secouer, s’habille et remet de l’ordre dans la literie. Elle essaie de se rassurer. Ardghal l’aime. Là, il a parlé sous le coup de l’émotion. Il tient trop à elle pour la laisser. Elle saura le convaincre et lui faire oublier cette incartade. Bien sûr, il y aura le qu’en-dira-t-on, mais cela ne durera pas. Et puis, pour l’éviter, ils n’auront qu’à s’éloigner ...