1. Préparatif et départ pour l’Érinland


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fh, couple, cocus, enceinte, vengeance, dispute, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Après la mort de sa femme en couche, il n’a pas mis quinze jours à venir me demander à mon père. Il y avait urgence, il était question d’un autre parti. Et voilà comment je me suis retrouvée mariée.
    — Combien de temps cela fait-il ?
    — Un peu plus de deux mois.
    — Vous n’avez pas de chance.
    — Ça, pour sûr ! Il jouait au coq de village. Quand cet imbécile a voulu culbuter la Glaisane, il est tombé sur un os. Du coup, il est devenu quasi un poulet.
    
    Lucien sourit. En la voyant s’affairer elle-même pour essuyer la table et servir le vin, il demanda :
    
    — N’avez-vous point de servante, avec les moyens qu’il a ?
    — Ci-fait ! Deux. Je les ai envoyées faire des courses. Elles en ont pour la journée. Elles ne sont pas mécontentes de ce qui est arrivé à mon cher époux. Il ne les poursuit plus de ses assiduités.
    
    En venant lui apporter son verre, elle trébucha. Lucien s’en trouve arrosé. Elle se précipite :
    
    — Oh, je suis désolée. Je suis maladroite. Donnez-moi votre gilet et chemise que je les rince et les mette à sécher devant la cheminée.
    — Ce n’est pas la peine, ce n’est pas grave.
    — Si j’insiste.
    
    Elle lui retire d’office son gilet et entreprend de faire de même avec la chemise. Il l’ôte lui-même. Elle les suspend devant l’âtre et revient vers son hôte.
    
    — Votre culotte aussi a été arrosée.
    
    Incontinent, elle s’agenouille devant et s’attelle à lui défaire sa ceinture. Lucien qui n’est point sot sent que tout cela est prémédité. Mari absent, servantes éloignées, ...
    ... entrée par l’arrière, et même arrosage. La dame a des idées derrière la tête. Sans beaucoup de crainte de se tromper, il devine lesquelles : suppléer un mari devenu trop peu vigoureux et donc défaillant. Malgré cela, il joua l’innocent et laissa faire Hélène. Icelle, point découragée par l’inertie de son invité, poursuivit. Après la ceinture, elle s’attaqua à la culotte. Alors seulement, il s’anima pour l’aider à la retirer avec son caleçon, en disant avec un sourire :
    
    — Il est mouillé aussi.
    
    Ce n’était pas évident, mais la dame sembla ne pas le remarquer. En découvrant ce qui fait de lui un homme, elle s’exclama :
    
    — Tudieu !
    
    Il faut dire que s’il n’était pas totalement dressé, il n’était pas au repos. Ce qu’il présageait l’avait émoustillé, Hélène étant une jeune personne accorte. Quatre pieds, sept pouces et quelques lignes, pour à peine plus de quatre-vingt-dix livres, des yeux noisette, une bouche charnue, un nez retroussé, des cheveux châtain clair, un menton avançant peut-être un peu trop et des rondeurs là où il faut. Bref, de quoi contenter un honnête homme.
    
    Elle porta la main à l’objet comme pour s’assurer de ce qu’elle voyait.
    
    — Suce.
    — Pardon !
    — Suce.
    — Que… Que je suce !
    — Oui da. N’as-tu jamais fait ça avec ton mari ?
    — Certes, non.
    — Comment procédiez-vous, alors pour le remettre en forme ?
    — Avec les mains.
    — Avec la bouche en plus, c’est encore mieux et plus efficace.
    — Ah !
    
    Elle était dubitative. Il insista :
    
    — Allez, pas de ...
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