Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... épouse.
Le soir même, Madame Des Dombes, que les caresses de son époux n’apaisent pas tout à fait, rejoint son amant avec empressement.
Point n’est nécessaire de beaucoup de préliminaires, pour qu’ils s’efforcent de mettre en route l’enfant espéré. Madame se montre particulièrement accueillante, comme ses cuisses largement ouvertes le prouvent. Monsieur à la vigueur et la rigidité pour se montrer conquérant. Par trois fois, il se vide dans le puits d’amour, avant que Patricia ne rejoigne ses foyers et subséquemment son mari qui s’enquière si tout s’est bien passé. La réponse positive le rassure. Il n’y avait pas à redouter, il est vrai, mais il vaut mieux en être assuré.
Les rencontres sont régulières. Bien évidemment, les amants n’hésitent pas parfois à s’éloigner du but de l’opération, pour d’autres jeux. Iceux, sont des sortes de transition, mais ils peuvent durer plus que la pénétration.
Cette activité au moins bi-hebdomadaire n’empêche pas le nouveau colonel et Maréchal de camp de faire ses relevés de terrain, d’établir des plans et de commencer le terrassement des futures fortifications.
Avec les 5 000 hommes qui lui demeurent, les autres ayant rejoint les troupes du général Daniel O’Mahony. Il active particulièrement les travaux d’un des deux ports, celui qui présente le plus de facilité à fortifier. C’est une anse naturelle à laquelle on accède par un goulet, dont les bords sont une défense naturelle qui ne nécessite que des travaux point trop ...
... important. La ville est naturellement protégée par des collines qu’il faut aménager et bastionner. Il consacre à cet endroit trois mille plus quelques centaines de terrassiers Erinlandais et seulement cinq cents à l’autre site. Les quinze cents autres, essentiellement des cavaliers, sont affectés à la sécurité des environs.
La mauvaise saison arrive, ralentissant les opérations. Au château des La Tièmont, la vie s’écoule lentement. Plus ou moins selon chacun.
Plus pour Léonore et Louis-Auguste, fort occupés à approfondir leur connaissance avec ardeur, quasi chaque nuit, et même parfois en journée.
Patricia visite deux fois par semaine son époux dont l’attitude reste aussi distante et rugueuse, même s’il ne se montre plus violent. Il faut dire qu’elle se tient à distance et évite toute discussion quant à son comportement. Il ne s’est pas excusé pour les claques assénées. Heureusement, il y a les haltes à l’auberge, lors du retour. Sans elles, elle aurait été moins assidue à rencontrer son mari. Les nuits passées avec Brindacier, lui apportent consolation. Elle y fait montre de toujours autant de fougue. Elle n’omet pas d’emmener les cinq godes. Il lui arrive de regretter la présence du sergent, mais ne veut pas prendre le risque de convier un autre partenaire à ses délassements génésiques. Ses parties de jambes en l’air sont moult ardentes. Elle y suce, fait baiser et goder d’abondance, dans toutes les positions. Parfois fort vigoureusement, mais cela n’est pas pour lui ...