Une photo envoyée
Datte: 06/05/2024,
Catégories:
fh,
couplus,
extracon,
cocus,
candaul,
Collègues / Travail
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
Auteur: Blacksad22_, Source: Revebebe
... poigne vigoureuse. La deuxième main libre se balada sur sa poitrine, malaxant ses seins un par un, pour remonter jusqu’à sa gorge. Elle était à lui, et il lui faisait comprendre.
J’en devenais presque un peu jaloux. Avec Paul ou les quelques autres fois avec des inconnus, c’était différent. Là, Marie était violemment dominée, par quelqu’un qui savait que j’existais. Et qui devait en tirer du plaisir. J’en étais si dur…
Son collègue lui relâcha les cheveux pour la plaquer contre le lit, et s’enfoncer encore plus profond en elle. Et plus rapidement.
— Et ton mec, il sait que t’aimes te faire tringler ?
Marie peinait à articuler.
— Ou.. ou… oui…
— Il sait que t’es une salope ?
C’était bien ça. Il tirait du plaisir à la savoir avec moi. Tant mieux, parce que j’en tirais aussi du plaisir. Et Marie aussi, visiblement.
— Dis-le que t’es une salope !
Il s’était mis à crier. Et Marie ne put que lui répondre en criant :
— Oui, je suis une salope !
J’avais la main enfouie dans mon pantalon. C’était incroyable. Tout ce qu’il se passait était incroyable.
Ses coups commençaient à perdre en intensité, et je le vis se reculer. Marie retomba sur le lit, à bout de force.
— Retourne-toi, j’ai pas tout à fait fini.
Il retira le préservatif qu’il avait visiblement sur son sexe, pour se diriger vers la table de chevet. J’étais content qu’il en ait porté un. Un minimum de sécurité.
Sur cette table, il prit le téléphone de Marie, et alla s’installer ...
... sur elle, jambes au-dessus de son abdomen.
— Tu vas me sucer maintenant. Et je vais laisser un joli souvenir à ton mec.
Sage intention. Je l’aimais bien ce mec finalement. Je vis Marie engloutir le sexe tendu qu’elle avait sous les yeux, et je le vis rire, en filmant la scène du dessus.
— Oh mec, qu’est-ce qu’elle suce bien ta femme. Tu m’en voudras pas, je lui ai refait l’intérieur.
Non, non, je ne t’en voulais pas. J’arrivais doucement à ma fin, sur le point de jouir.
Marie était toujours affairée sur le manche de chair, aidée par son collègue, qui lui tenait la tête de sa main libre.
Puis il se mit à gémir plus fort qu’à l’accoutumée, et fut pris de quelques spasmes. Il se retira d’un coup de sa bouche, pour jouir sur le visage de ma femme, surprise, et descendant sur sa poitrine.
Il laissa échapper un souffle de plaisir, en essuyant son sexe sur les joues de celle qu’il venait d’asperger.
— T’étais bonne. Je te redefoncerais bien une prochaine fois. Si t’as besoin d’une bite pour les salopes comme toi, tu sais où appeler.
Il n’avait vraiment que le mot salope à la bouche, celui-là. Je me décalai rapidement dans la chambre d’amis, le laissant sortir, tout en remettant sa chemise. Je terminai mon affaire de mon côté, sans grand mal. J’avais encore de sacrées images en tête. La croupe rouge de Marie, son visage à bout de souffle, son corps trempé de sueur… Je vins très rapidement. Quelques instants plus tard, la porte d’entrée claqua. Il était ...