1. Une photo envoyée


    Datte: 06/05/2024, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, candaul, Collègues / Travail douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Auteur: Blacksad22_, Source: Revebebe

    ... dupe.
    
    Marie lui avait répondu.
    
    J’admirais le culot de ce collègue. Il avait répondu :
    
    Marie était aux anges. Elle avait envoyé une autre photo, prise de plus bas, où on voyait clairement son sexe humide. Il ne répondit pas immédiatement, mais joignit à son tour une photo de son sexe, en beaucoup plus gros plan.
    
    Je m’étais à nouveau redirigé aux toilettes, par souci de discrétion. Même s’il n’y avait personne au bureau aujourd’hui, je ne pouvais pas regarder de telles photos comme ça.
    
    Un autre screen de Marie.
    
    Puis, notre adresse. C’était si alléchant. J’avais commencé à me caresser doucement, imaginant la suite qui allait arriver. Puis un message de Marie.
    
    Ni une, ni deux, je pris la direction de la maison, prétextant un problème avec ma femme qui nécessitait mon retour. Personne n’allait s’y opposer.
    
    Je m’efforçais de respecter les limitations de vitesse pour rentrer à la maison. J’avais une gaule d’enfer. Je m’imaginais tout un tas de scènes, bien avant d’arriver à la maison. Cet après-midi avait pris un tournant surprenant, mais j’étais bien heureux de le voir se profiler de cette façon. Et le mystère de l’identité du collègue rajoutait de l’excitation.
    
    Après un quart d’heure de trajet, qui semblait une éternité, je pus enfin me garer un peu plus loin, pour finir le trajet à pieds. Je ne voulais pas faire fuir ce charmant amant.
    
    Comme promis, la fenêtre du jardin était ouverte, et je pus m’y faufiler discrètement. Une fois à l’intérieur de ...
    ... notre maison, je n’ai pas eu besoin d’en savoir plus. On entendait très clairement Marie jouir à l’étage. Dans notre lit à nous. Ah les fumiers.
    
    Je montais l’escalier, esquivant soigneusement les marches grinçantes, pour déboucher devant la porte de la chambre, entrouverte. Je n’avais plus qu’à me régaler.
    
    Marie, sur le dos, les jambes écartées, et son collègue, un homme musclé, a priori légèrement plus vieux que moi, enfoncé en elle, tenant ses chevilles pour la pénétrer plus facilement. Il y allait à fond. Je ne voyais que son dos, mais ses contractions et ses mouvements secs témoignaient d’une chose : aucun sentiment dans cette affaire, il était venu pour la baiser, et ça se voyait. Il grognait par moments, entre deux petits cris de Marie.
    
    Il se retira, pour la laisser replier ses jambes.
    
    — Retourne-toi à quatre pattes maintenant.
    
    Un ordre, sec et précis. Marie ne se fit pas prier, et mit en avant sa croupe luisante. Même moi, je le voyais d’ici. Elle avait le teint rouge et transpirant. Ses petits cheveux de devant, habituellement toujours ondulés, étaient plaqués sur son front.
    
    Son collègue la saisit par la taille, l’approchant contre son sexe, pour se glisser en elle. Elle ferma les yeux au moment de la pénétration. Il grogna, puis la saisit d’un coup sec par les cheveux, amorçant ses coups de reins.
    
    Une fois encore, il y allait fort. On entendait résonner ses cuisses contre celles de Marie. Elle avait toujours la tête coincée en arrière, par une ...