1. Flibuste et amitié


    Datte: 04/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... mate les deux fesses de nos deux yeux. Mais lui, non, seul son œil gauche pétillait de lubricité.
    
    Les filles en étaient troublées.
    
    Et nous on l’appelait le pirate.
    
    On aurait pu penser que l’autre œil serait couvert d’un bandeau noir, aveugle. Comme dans les BD de vrais pirates. Barbe Noire…Mais non. Le gars flibustier était un mec normal de notre temps du vingt et unième siècle. Pas du tout un aventurier boucanier des temps anciens. Plutôt un véritable corsaire missionné.
    
    Le pirate est venu. Il a saisi la fille par la taille et l’a emmenée. Elle n’était pas farouche et s’est laissée facilement entraîner. Sa taille nue sous la fine étoffe de la robe longue appréciait la touche ferme et hardie de la main du pirate. Elle mouillait.
    
    Il est vrai que cette fille toujours toute nue sous ses robes Laura Ashley façon années soixante, cette fille un peu naturiste un peu libre, mouillait généreusement chaque fois qu’un garçon l’approchait de près et s’intéressait à elle.
    
    Soyons honnêtes, elle mouillait même quand aucun garçon ne l’approchait. C’était une fille ouverte à toute opportunité même rien qu’en pensée uniquement.
    
    Sympa, non ?
    
    Son regard était languissant et on comprenait immédiatement, comme disait l’autre Michel Blanc bronzé du ski, qu’il y avait grosse probabilité de concrétisation.
    
    Mais en réalité tout le monde se trompait.
    
    Cette fille toute nue sous sa robe légère et qui ne faisait pas mystère de sa vocation naturiste, cette fille qui exhalait ...
    ... parfums de stupre et invite à copulation au point de tournebouler la comprenette de tous les gars de toutes les filles alentour.
    
    Et bien cette fille n’était pas du tout en recherche de mâle pour la couvrir et emplir sa cougourle de généreuse offrande fluide mais néanmoins épaisse. Enfin selon…
    
    Non.
    
    Cette fille était simple nature saine et bien honnête. Elle prétendait vivre vie normale de fille ordinaire. Et jouissait en toute simplicité de la brise légère sous ses jupes qui faisait petit tourbillon sur la boulette rose toute humide de ses pensées un peu interlopes. Et bitmini tout décalotté en attente de lèvres aimantes et douces. Dont on se doutait tous qu’elle était probablement fort friande.
    
    Ce soir-là on était, les copains et moi, en bandaison extrême et on pensait. Nous les garçons, quand les circonstances l’imposent, on pense. Enfin devrais-je plutôt dire, on bande.
    
    Mais les filles, nos copines, n’étaient pas, elles, de reste.
    
    Les filles étaient émues. Les filles sont sensibles aux odeurs de leurs congénères. Elles ressentent en empathie. Et nous, les gars, on aime bien ça, qu’elles ressentent.
    
    On se dit qu’on comprend enfin cette expression faire d’une pierre deux coups. Et même on se sent ambition d’en faire peut- être trois. Trois coups. Sans coup férir.
    
    Enfin les filles les gars on aimerait les férir à coup sûr. Et c’est pas toujours facile, ça.
    
    Alors la fille toute nue sous sa robe fluide avec son bon sourire de bienvenue de bon accueil ...