La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1599)
Datte: 04/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... s’accélérait, les mouvements augmentaient, et la force grandissait. Je voyais Antoine suffoquer sous ces assauts incessants, dont les Nobles couilles battaient contre son menton à chaque mouvement alors que son nez s’écrasait sur la toison rendue humide par l’effort. Antoine n’était plus qu’un simple trou, juste grand ouvert pour donner du plaisir et qu’on utilisait en ce sens… J’étais là, toujours avec ces doigts puissants agrippés à ma chevelure, à regarder, envieux, cupide et jaloux de Sa divine Verge … Avec ce désir intense d’être moi aussi possédé et dominé de la sorte. Mon regard dévorait ce Membre viril, le convoitait, je le souhaitais, quitte à crier grâce sous Son Emprise. Mais le Maître en décidait autrement quand Il ordonnait à Antoine :
- Mets-toi à quatre pattes salope, en levrette, tu poses tes coudes par terre et tu écartes tes jambes de putain.
L’Exigence était sèche et n’appelait pas à la discussion. Antoine s’exécutait et s’offrait sans que je puisse percevoir une quelconque gêne ou pudeur. Le Maitre m’attrapait une nouvelle fois par ma chevelure et me tirait à Lui en me disant :
- Toi, la salope, tu vas rester à genoux près de moi. Tu vas me regarder défoncer le cul de cette putain de chienne, tu vas bien regarder… pour que tu comprennes que Ma noble Virilité se mérite, pour que tu comprennes que les salopes comme toi, désobéissantes ou tout au moins ne respectant pas les règles de cette auguste Demeure ne peuvent prétendre à Mon Sexe… En quelque ...
... sorte une punition que je t’inflige, une punition psychologique, sans doute plus dure que ces coups de cravache sur tes burnes de lope, puisque j’ai constaté que tu bandais, espèce de petite catin que tu es !
Quelques secondes plus tard, la froideur du gel pénétrant le cul d’Antoine, le faisait trembler et gémir. Sans ménagement, Monsieur le Marquis barbouillait son intérieur avec ce lubrifiant en introduisant un, puis deux, puis trois doigts dans ce conduit maintenant écartelé et lubrifié. Antoine se laissait fouiller en gémissant doucement, docilement. Il tremblait peut-être d’impatience, peut-être d’excitation, certainement les deux… Monsieur le Marquis, maintenant à genoux derrière le fessier arrondi d’Antoine, poussait Son Vit d’un coup violent au fond de cette cavité dilatée. Bien que préparé, Antoine geignît sous cet assaut foudroyant. Il était embroché, transpercé par ce coup de boutoir impressionnant, les couilles du Maître venant buter ses fesses. Antoine fermait les yeux, des larmes coulaient sur ses joues, ses mâchoires crispées me faisait dire que la douleur avait dû être foudroyante et devait lui brûler le ventre. Mais Monsieur le Marquis n’en avait cure et commençait des va-et-vient violents et rapides, Ses coups de reins étaient d’une puissance inouïs, profonds, cadencés. Je voyais Antoine abdiquer et se résigner, les yeux inondés de larmes, la bouche grande ouverte d’extase venant se mêler à la saillie bestiale. Il acceptait ce Membre lui perforant et lui ...