La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1599)
Datte: 04/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1597) -
Chapitre 34 : Un intermède punitif entre deux fécondations -
J’inondais le bas-ventre de cette soumise MDE au terme d’un choc corporel que je venais d’affronter...
Cette perverse Madame Claire, médecin gynécologue de son métier, ne devait guère apprécier les attributs masculins des esclaves mâles de Monsieur le Marquis. Elle avait empoigné mes couilles en passant par derrière, entre mes jambes, et m’avait dégagé de cette chatte brulante avec force et autorité. Elle comprimait mes burnes d’une telle façon que j’en perdais le souffle, suffoquait même, la douleur était-elle, qu’elle me contraignait à me plier en deux en gardant la bouche grande ouverte :
- Ne t’inquiète pas espèce de bâtard, je vais te les assécher tes burnes de salope, tu vas y retourner dans peu de temps dans cette putain de chatte de chienne en chaleurs, mais chacun son tour !, me disait cette femme au ton cassant.
La sévère sœur jumelle de Madame Marie me maintenait toujours fermement, et faisait rouler entre ses longs doigts mes deux testicules tout en les comprimant sévèrement, tout en les étirant vers le sol. Je n’avais d’autre choix que de me mettre à genoux puis de m’affaler à terre en me laissant tomber sur le dos, tout en refermant mes cuisses pour qu’enfin cette perverse femme si obscène lâche prise. Ce qu’elle fit d’ailleurs. Je me retrouvais alors juste devant les nobles ...
... Pieds du Maître, Lui, toujours assis, impassible, Son regard sévère porté sur moi.
- Allons, Ma petite salope… Quelle est cette attitude irrespectueuse, cette réaction épidermique… Ne t’a-t’on pas encore appris ce que sont les règles élémentaires pour tout esclave demeurant sous Mon joug ?, reprenait le Châtelain très calmement.
Je ne voyais pas où il voulait en venir… Je ne comprenais pas, trop préoccupé à retrouver mon souffle. Voyant que je ne réagissais pas, Monsieur le Marquis posait Son pied sur mon visage et pressait Sa chaussure parfaitement cirée sur ma joue.
- Ne sais-tu donc pas encore, Mon chien, que quoi que l’on te fasse, tu dois te montrer digne et garder les jambes largement écartées, toujours écartées d’ailleurs, sauf contrordre, reprenait le Noble tout en appuyant un peu plus la pointe de Sa chaussure creusant ainsi ma joue…
Instantanément j’ouvrais mes cuisses et je laissais ainsi mes génitaux, bien en vue…
- Estime-toi chanceux, je vais seulement t’infliger cinq coups sur tes burnes, tu n’as pas intérêt à bouger sinon je recommence… Marie, donne-moi ta cravache !
Ma nouille était flasque et retombait sur mes burnes, Madame Marie la saisissait du bout des doigts avec des yeux brillants d’appétit pervers et qui respiraient le sadisme, elle positionnait relevant ma nouille sans délicatesse sur mon pubis.
- Ainsi, vous avez le champ libre, Monsieur le Marquis…, faisait-elle remarquer en souriant sadiquement
Le Châtelain se levait, Son pied ...