1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1573)


    Datte: 04/05/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... dernier répondu la chose que moi, avec ses mots à lui et, à mon instar, avec une dévotion sans faille ressentie dans sa diction… Depuis seulement quelques jours, peut-être au cours du stage chez cette nurse perverse, il y avait eu un déclic dans ma façon d’être, dans ma façon de penser. Ce couple pervers m’avait fait mordre la poussière, m’avait conduit dans les bas-fonds de la débauche et du vice absolu, je n’avais vu que ça près d’eux, mais aujourd’hui je réalisais qu’ils m’avaient aussi appris à renoncer de façon définitive à mon « moi », à mon égo. Je sentais que je n’avais plus de volonté propre, que j’agissais seulement selon les ordres fixés, un véritable lâcher-prise, je m’en réjouissais… J’étais maintenant debout, torse incliné à 45 degrés vers l’avant, cuisses ouvertes, mes mains placées sur mes fesses, tirant sur mes lobes fessiers, pour les écarter et les laisser bien en exhibition, mon anus grand ouvert. Antoine entre mes jambes gobant ma nouille toujours ruisselante alors que Monsieur le Marquis se débraguettait et se positionnait derrière moi, une main sur le creux de mes reins, m’obligeant à bomber un peu plus mes fesses en cambrant mes reins pour mieux m’offrir. Sitôt positionné comme le Noble l’exigeait, Il m’embrochait d’un seul trait, à sec, comme un vulgaire objet. Je ne pouvais retenir un hurlement, alors que Lui restait profondément planté en moi, un long moment, pour ensuite se retirer lentement. Son sexe bandé au maximum palpitant contre mon orifice ...
    ... distendu, Il me tenait fermement par les hanches, alors qu’Antoine me suçait énergiquement. D’un deuxième coup de reins, Monsieur le Marquis s’enfonçait une nouvelle fois violemment. Cette seconde ruade plus violente que la première me faisait brailler… une douleur vive dans mon cul et un plaisir extraordinaire au bout de ma nouille. J’étais sailli sans concession et j’en éprouvais une excitation phénoménale, mentalement et physiquement
    
    - Tu la sens Ma grosse Verge, Mon chien, tu sens comme je t’encule bien à fond ! Ouvre ton cul, remue les fesses, laisse-toi te faire troncher, n’oublie pas que ton trou du cul n’est fait que pour vider Mes Nobles Couilles, tu n’es qu’un sac à foutre, ne l’oublie jamais. Je vais bien te remplir, te féconder, je vais décharger une bonne dose, tu vas aimer Ma salope !
    
    Monsieur le Marquis me limait furieusement alors qu’Antoine me suçait divinement bien. Ces sensations entremêlées, ces contradictions déconcertantes, ces oscillations ambivalentes me désarçonnaient. Il y avait là quelque chose d’inexplicable, d’inavouable, tout cela me désorientait. Je me sentais être chienne, salope, chose, objet, rien du tout, je me sentais aussi totalement possédé, ma perversité devenait sans limite. Elle me faisait chuter brutalement dans un univers diabolique et infernal, sans que je puisse freiner cette déchéance qui était à la fois douloureuse et si jouissive.
    
    - Maître, Maître, je vais…- Oui tu vas jouir, Ma salope de pute, mais seulement une fois ...