1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1573)


    Datte: 04/05/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1572) -
    
    - Broutez vos culs, dégustez-vous les chiennes, le temps que je raccompagne ce cher Ludovic jusqu’à sa voiture, mais attention interdiction formelle de vous téter la queue !...
    
    Ma langue fouillait donc cet orifice intime posé sur ma bouche, elle papillonnait tout autour de cette rondelle à la fois souple et tonique, un œillet visiblement habitué à se faire prendre et qui s’ouvrait à ma cavité buccale. Je humais alors avec délectation ces effluves corporels de cul, de sexe en rut, sources d’excitation. Ces inhalations soyeuses et somptueuses, ces odeurs intimes respirées me faisaient frissonner de la tête aux pieds comme un retour aux sources de mon animalité instinctif et de mon homosexualité naturelle. J’étais convaincu que mon comportement était influencé par ces phéromones volatiles aux vertus aphrodisiaques. Elles me conditionnaient, m’excitaient, me tourmentaient. Ma nouille coincée entre mon ventre et la poitrine d’Antoine, palpitait et ruisselait tant par ces odeurs de mâles excités que par ces caresses buccales divinement délicieuses, sur mon trou baveux d’envies. Les couilles glabres de mon congénère se frottaient contre mon nez, sa nouille poisseuse pulsait à quelques centimètres de ma bouche. Comme il était dur de contenir mes pulsions, j’avais une furieuse envie de gober cette nouille raide et tumescente, à seulement quelques centimètres ...
    ... de ma bouche... Le Maitre était revenu, maintenant assis sur son fauteuil, il regardait Ses deux esclaves mâles se gouiner, il entendait nos gémissements, il constatait le plaisir que nous nous donnions l’un et l’autre. Il nous laissait faire, encore, toujours, pendant de longues minutes… jusqu’à cet instant :
    
    - Ça suffit les chiennes, placez-vous face à Moi, côte à côte, en position d’attente à genoux, j’ai à vous parler.
    
    Evidemment Antoine, comme moi, avions le regard bas, le buste droit imposant à nos fesses de ne pas toucher nos talons...
    
    - Non regardez-moi, j’ai des choses à vous dire… J’ai pris une grande décision importante et vous concernant.
    
    Monsieur le Marquis prenait son temps, il nous regardait attentivement, intensément, l’un et l’autre, chacun notre tour, fixait Son regard bleu puissant et si profond dans nos yeux respectifs puis le portait sur nos nouilles ruisselantes, toujours fières et dressées. Ses doigts tapotaient machinalement les accoudoirs du fauteuil. Le Châtelain croisait les jambes en nous laissant gamberger. Je le trouvais noble, au sens propre comme au figuré, puisque descendant d’une haute lignée aristocratique connue et reconnue mais aussi parce qu’il y avait de la distinction, de l’élégance, du Charisme dans Son allure, Son comportement, Sa personnalité. Oui, Il était élégant, et même imposant, avec un magnétisme et une autorité naturelle. Une présence si forte que même sans un seul mot, on sent Son Regard nous pénétrer.
    
    Le Noble ...
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