1. Florence de femme mariée à callgirl 3


    Datte: 03/05/2024, Catégories: Première fois Auteur: André Bernard24, Source: Hds

    ... soirée.
    
    Tu as raison mon Tao, je crois bien que sa robe a également goûté à notre sperme.
    
    - Allez Florence tu nous enlèves ça tout vite.
    
    Je m'exécutais, j'étais à présent couverte de mes escarpins, mes bas, mon porte-jarretelles et ma culotte. A moité avachi sur le lit ils me demandaient de tourner sur moi-même. Lorsque je leur tournais le dos il me disaient Stop.
    
    - Tu vois Tao, c'est le genre de cul que j'adore. Au bas d'une chute de reins vertigineuse, ces fesses remontent vers le haut avec arrogance.
    
    - Tu as raison Igor et la raie est bien serrée, elle cache bien au chaud un petit anneau qui ne demande à être choyé. Mais au fait, tu lui as glissé un doigt tout à l'heure.
    
    - Oui, et crois-moi c'était plus que serré.
    
    - Florence, répond et ne ment pas, car ça fait partie du contrat. C'est vrai que tu es vierge de ce côté-là.
    
    - Oui monsieur
    
    - Non ! Personne ne t'a jamais sodomisée ! Un petit doigt peut être avant celui d'Igor.
    
    - Celui de Marc monsieur.
    
    Ils rigolaient en marmonnant que Marc n'allait jamais au fond des choses. À ce moment Igor fouillant dans la poche de sa veste en sortait un cran d'arrêt.
    
    -Viens ici Florence, approches
    
    - Que faites-vous avec ce couteau monsieur, je vous en prie, ne me faites pas de mal.
    
    Il se levait et se précipitait sur moi, en un éclair la lame du couteau se glissait sous l'élastique de ma culotte le tranchant net. Il repartait avec son trophée rejoindre son ami.
    
    J'avais vraiment eu peur.
    
    Il ...
    ... ne me restait à présent que mes bas mon porte-jarretelles et mes escarpins rouges. Ils me demandaient d'approcher du lit et de m'étendre sur le dos entre eux.
    
    Leurs mains me caressaient les seins, le ventre, les cuisses. Leurs doigts agaçaient les lèvres humides de ma chatte. Ils me prodiguait maintenant des baisers profonds et me susurraient à l'oreille des mots de plus en plus crus.
    
    - Tu aimes nos caresses petite pute, dès que je tentais de répondre je recevais un « chut tais-toi ». « Réserves ta bouche pour sucer ou crier. » « Tu te souviens de ta leçon sur les porte-jarretelles. » « C'est à notre tour de te donner une bonne leçon. »
    
    Inutile de faire la fière, à ce moment là, j'avais vraiment peur.
    
    Tao attrapait le petit sac de cuir rouge dont le contenu m'avait passablement ridiculisé en début de soirée.
    
    Pendant que les doigts agiles d'Igor, me faisaient abondamment mouiller en me masturbant le clito et le vagin, Tao me souriait en agitant le petit canard jaune au bec noir.
    
    Tous deux riaient en me disant maintenant nous allons jouer.
    
    La main d'Igor à peine sortie de mon vagin, Tao y introduisait la grosse tête du canard. Le temps d'entendre un petit bruit de moteur électrique et mes reins décollaient du lit.
    
    J'étais prise de convulsions mes jambes se soulevaient, je griffais le cuir du lit. Mes cris couvraient la musique classique. Jamais je n'avais ressenti cela.
    
    Igor aussi rapidement retirait le canard pour me le faire sucer.
    
    À nouveau, il ...
«12...789...16»