Florence de femme mariée à callgirl 3
Datte: 03/05/2024,
Catégories:
Première fois
Auteur: André Bernard24, Source: Hds
... d'affaires faisaient monter en moi une colère froide. Je les avais effectivement provoqués, et à présent je ne pouvais douter qu'ils aient l'intention de me le faire payer.
La question était de savoir si je serai capable de faire face. J'avais encore si peu d'expérience que le doute et la crainte de ne pas être à la hauteur m'envahissaient.
Aussitôt je pensais à ce qu'avait fait Michel mon mari. Dans quelle situation je me retrouverais si je renonçais à me soumettre aux désirs de ces deux hommes.
En attendant j'avais envie de leur faire payer l'instant présent.
Les yeux fermés, ils me croyaient endormie. Très bien, alors je gémissais en écartant plus largement mes cuisses. Je descendait lentement ma main droite pour atteindre ma culotte et la glissait sous l'élastique, je caressais alors tendrement mon petit abricot, afin d'exciter ces messieurs.
Igor avait les yeux exorbités.
- Regarde Tao, cette petite pute se caresse, c'est insupportable, elle me fait bander comme un âne.
- Tu as raison Igor, elle doit être chaude comme la braise.
- Elle ne perd rien pour attendre. Nous allons lui apprendre qu'il ne fait pas bon nous défier.
Mes yeux mi-clos me permettaient de voir que mes deux prétendants affichaient une bosse naissante au niveau de l'entrejambe. Je pouvais me rendre compte que mère nature les avait généreusement dotés à ce niveau.
Il me semblait même que le pénis d'Igor montrait le bout de son gland au-dessus de sa ceinture. Tao lui, ...
... c'était la cuisse gauche de son pantalon qui laissait deviner un sexe moins long qu'Igor, mais dont la circonférence était manifestement importante.
J'étais profondément excitée et fière de constater le pouvoir que j'avais sur ces deux hommes excités à l'idée de me posséder. Aussi, c'est à cet instant que je prenais ma décision.
J'irais jusqu'au bout de mon engagement, quel-qu’en fut le prix à payer.
DANS LE PALACE A NICE
Après l’atterrissage, une vaste limousine nous transportait vers notre destination finale. Une occasion supplémentaire pour mes deux prétendants de discrètement me caresser le dos la nuque, ou de me frôler les jambes de leurs genoux ou leurs chevilles.
Le palace était magnifique baigné de soleil face à la mer. J'avais les yeux pleins d'étoiles. Jamais je n'avais imaginé un jour pénétrer dans un tel établissement de luxe.
Une véritable petite armée affectée à notre service nous invitait à emprunter l'ascenseur qui nous menait au dernier étage. Deux larges portes s'ouvraient, nous laissant découvrir une suite royale.
Un immense salon en arc de cercle permettait d'accéder à sept chambres et salle de bains privatives. En avançant nous accédions à une vaste salle à manger ornée d'une table en marbre gris entourée de chaises cuir. Sur la droite, à nouveau un très grand salon comportait des fauteuils et des canapés.
L'un d'eux, immense et totalement rond avait des dossiers en forme de pétales qui, en s'inclinant totalement, devenait alors un ...