Livré - Histoires de Sexe

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... déshabilles dans ton entrée et ne t'habilles que quand tu dois sortir.

4 webcams ont été installées pour te regarder en toutes circonstances, tu es sous mon contrôle en permanence, ce n'est qu'un début.

Je veux pouvoir te voir quand je veux, et surtout m'assurer de ton dressage

Lorsque tu seras assez bien dressé pour te présenter à moi, je te convoquerai, mais là tu n'es qu'un jeune chien sans aucune tenue.

Chaque jours de nouvelles instructions viendront, surtout n'oublie ni de les écrire dans ton carnet, ni de les apprendre par cœur, ni de les appliquer.

Tous les soirs, après avoir fait ton mail de la journée, je te veux à genoux face à la caméra et que tu récites toutes tes obligations une à une. Si tu hésites ou tu te trompes, je te punirais, et tu recommenceras.

Ta Propriétaire »

Je m'étais mis nu dès que j'avais lu l'ordre, sidéré par la présence des caméras. Cette intrusion était incroyable, à chaque instant je pouvais être vu. Pire, je découvris que lumière éteinte une halo rouge se dégageait, les caméras me surveillaient dans le noir. J'étais très excité, imaginant la perversion de ma Maitresse, mais surtout qu'Elle prenne autant de temps et d'énergie pour moi c'était en fait très flatteur.

Les semaines qui suivirent furent sans doute les plus sidérants que je pouvais imaginer. J'étais sous le contrôle d'une Femme qui me voyait dès que j'étais chez moi mais que je ne connaissais pas. J'obéissais bien entendu, ayant très peu de temps de ...

... libre, entre mes deux heures de sport chaque jour, mon heure d'écriture, ma récitation des consignes qui devinrent chaque jour un peu plus lourde. Le week-end le programme était plus chargé, je devais faire 4 heures de rameur, plus de nombreux exercices qu'Elle me demandait. Je n'avais plus le droit de manger qu'une fois par jour, le matin, ce qui me posait des problèmes au bureau : je ne mangeais plus avec mes collègues et ma Maîtresse m'interdisait de nourrir une quelconque conversation non professionnelle. Plusieurs d'entre eux s'inquiétèrent de mon état de santé, puis me laissèrent dans mon coin, ayant le sentiment que je les snobais. Comment auraient ils pu savoir, et puis d'une certaine façon ils avaient raison, je préférais ne penser et n'être envahi que par le désir d'Elle. Ses derniers messages étaient inquiétants. Elle me disait vouloir m'ôter un à un tous les plaisirs et toutes les douceurs de ma vie, qu'elle ne devienne que souffrance et contraintes. J'avais l'impression que c'était déjà le cas, mais non.

Un matin, prenant mes affaires pour m'habiller, je constatais que tous mes caleçons avaient disparus. A peine ai-je eu le temps de marquer ma surprise qu'un SMS d'Elle m'expliquait que je ne devais plus porter de sous-vêtements d'hommes, mais uniquement des sous-vêtements de Femme, elle allait faire de moi une femelle, une chienne à tout faire, ni Femme, ni animal, quelque part entre les deux. Une nouvelle dimension de ma soumission commençait, sans que je m'en ...