Un nouveau collègue
Datte: 29/04/2024,
Catégories:
fh,
ff,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
rencontre,
occasion,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... glissades oculaires furtives sur mes seins ni mes courbes moulées dans ma robe de garce. Correct, le bavard, en tout cas au premier abord.
Discussion professionnelle le reste de la matinée, pas du tout la grosse tête, approuvant sans réserve mes décisions passées, et se réjouissant d’en apprendre davantage sur la comptabilité, plutôt modeste le Docteur en droit. Et puis, chapeau, jamais son regard n’a dévié du mien lors de nos échanges, malgré quelques minauderies grossières et indignes de mon rang. Suis-je sexuellement frustrée depuis que ma Séverine n’ose plus se lâcher en ma compagnie que je doive allumer le premier venu ? Allons Magali, on se reprend un peu, que diable. !
Les semaines passèrent, mon unique amour commençait à s’arrondir, toujours aussi belle, nous passions de longs moments à discuter de sa grossesse, de sa peur de l’accouchement, et de sa vie avec Julien. Elle me confia qu’il se sentait (lui aussi ?) sexuellement frustré, mais ne savait pas comment en parler, de peur de la choquer. C’est donc ma jolie coquine qui l’a aidé, le caressant de sa main pour le faire jouir sur ses seins, le prenant en bouche au réveil pour une fellation complète, et même l’autorisant à la sodomiser pour autant que ce soit elle qui le demande et le guide, assise sur lui, de dos.
— Tu sais, Magali, c’est grâce à toi que notre vie est devenue moins stressante, grâce aux folles caresses que tu m’as aidée à accepter. Quand j’ai demandé à Julien de me prendre par l’anus, il a ...
... hésité, mais j’ai réussi à le convaincre, et c’est moi qui l’ai lubrifié, guidé entre mes fesses écartées, et il a joui très fort. Ce qu’il ne sait pas, ma chérie, c’est que quand son pieu m’écartelait le cul, je fermais les yeux et c’est toi que je sentais, tes doigts de fée du plaisir s’enfonçant en moi, ta langue sur mon clito… Et moi aussi j’ai joui en me caressant !
— Séverine s’il te plaît, arrête, je suis en manque de toi, tu me tortures. ! Je viens de tacher ma culotte en t’écoutant, tu n’es pas raisonnable. Je te laisse, chérie, fais attention à toi !
Je me levai et me dirigeai vers la porte, quand la main de Séverine se posa sur mon épaule et me tira en arrière.
— Laisse-moi te caresser, mon amour, puisque ta culotte est déjà salie, ça ne change plus rien. Viens m’embrasser et relève ta robe !
— Non, Séverine, non, ce n’est pas raisonnable, nous ne sommes pas des animaux ! Tu dois aussi apprendre à te contrôler, Madame le professeur.
Ma douce maîtresse adopta une moue contrariée, tenta en vain de glisser sa main sous ma robe, mais je résistai et rentrai chez moi.
Comme convenu, mon nouveau collègue s’installa dans mon bureau, en face de moi. Il fut convenu de nous appeler par nos prénoms, soit Magali et Bastien. Il se révéla un vis-à-vis très agréable, doté d’humour, jamais critique et toujours très positif, et j’avoue que ses connaissances furent précieuses dans le traitement de plusieurs dossiers délicats. Inutile de jouer les vamps ou les allumeuses ...